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Découvrez le métier de vendeur/vendeuse en 5 points !

On croit souvent (à tort) que le rôle premier du vendeur est… de vendre. Et pourtant, le métier va bien au-delà de cette seule mission. Car un vendeur (une vendeuse) est avant tout un(e) excellent(e) communicant(e), capable d’adapter son discours et ses arguments en fonction de son interlocuteur, de prendre en compte les besoins et les attentes des clients, mais aussi de représenter son entreprise/sa marque afin d’en donner au public une bonne image. Ce sont ainsi de nombreuses responsabilités qui pèsent sur les épaules du vendeur (de la vendeuse), un métier en réalité mal connu. Voici 5 points pour le découvrir sous toutes ses facettes, surtout si vous envisagez de devenir vendeur(se) vous-même !

1. La mission principale du vendeur (de la vendeuse) : satisfaire le client

Et non, un vendeur (une vendeuse) n’est pas là que pour vendre un produit ou un service ! Ce qui compte, bien plus que la vente en elle-même, c’est la satisfaction du client. Celui-ci est roi, certes – mais il est surtout un individu avec ses besoin spécifiques et ses problématiques bien précises, un individu qui attend du vendeur/de la vendeuse qu’il/elle sache l’écouter pour mieux lui proposer une réponse personnalisée.

C’est que le métier a évolué. Si le client a toujours été roi, avant, le commerçant était son conseiller de l’ombre, celui qui lui soufflait à l’oreille des conseils parfois peu avisés, et surtout très intéressés. Mais les choses ont beaucoup changé. Avec l’arrivée d’Internet, les consommateurs ont pris l’ascendant sur les entreprises et les marques. Aujourd’hui, un client qui arrive en boutique a déjà effectué des recherches sur le web, s’est informé des différents produits/prestations qui existent, a comparé les offres, et sait précisément ce qu’il est venu acheter. Il ne veut plus des arguments visant à le convaincre de repartir avec telle ou telle chose, il souhaite des conseils et des recommandations qui l’aideront à faire le meilleur choix. Un vendeur/une vendeuse doit donc s’adapter à cette nouvelle réalité.

2. Des missions diverses et variées en fonction du cadre de travail

Les missions du vendeur (de la vendeuse) peuvent changer en fonction de l’environnement de travail. Les attributions ne sont forcément pas les mêmes si vous exercez en grande surface, dans un commerce de proximité ou au sein d’une boutique spécialisée ; les compétences demandées sont aussi adaptées au contexte.

Par exemple, en tant que vendeur (vendeuse), vous pouvez (en plus de toute la partie proprement « vente ») :

  • Préparer l’ouverture de la boutique,
  • Trier les marchandises et les mettre en rayon,
  • Veiller au réassortiment,
  • Procéder à l’étiquetage des produits,
  • Conseiller les clients et les aider à trouver ce qu’ils cherchent,
  • Répondre à leurs questions,
  • Faire des démonstrations,
  • Réorganiser la vitrine,
  • Guider et orienter le client vers d’autres rayons/personnels, si besoin.

Des missions que l’on retrouve principalement dans les petits commerces et les grandes surfaces. Dans un magasin spécialisé, un vendeur (une vendeuse) ne vend qu’un type de produit ou de service en particulier : des appareils high-tech, des vêtements, des articles de sport, etc.

D’ailleurs, ce ne sont pas que les attributions qui changent : le salaire, lui aussi, dépend du cadre de travail et des responsabilités.

vendeur ou vendeuse

3. Des compétences de vendeur (ou vendeuse) adaptées au type de magasin

Bien sûr, on attend d’un vendeur (d’une vendeuse) des qualités commerciales autant qu’humaines. Un bon vendeur est un vendeur souriant, aimable, toujours disponible et à l’écoute, qui n’essaie pas forcément de persuader son interlocuteur, mais qui sait trouver les mots pour lui faire comprendre (sans le dire clairement) que CE produit ou CE service est celui qu’il lui faut. Cela suppose un grand talent de communicant.

Mais ce n’est pas tout. Le métier de vendeur (vendeuse) est aussi fait de compétences très précises. Celles-ci doivent s’adapter au type de magasin et aux produits/services vendus. Mieux vaut s’y connaître en télévision, en voiture ou en parfum pour en vendre… Car le client n’est pas dupe et se rend compte rapidement de la supercherie ! Pour bien vendre, il faut connaître sur le bout des doigts toutes les caractéristiques de ce qu’on propose aux clients (sans pour autant tomber dans l’archi-convenu « justement, je possède moi aussi cette télévision et j’en suis très content »).

Quand vous passerez un entretien d’embauche, la première chose qu’on attendra de vous, donc, en dehors de vos talents de vendeur (vendeuse), c’est un goût prononcé pour le type de produit/service proposé par la boutique. Et une certaine adaptabilité, car vous ne vendrez (ni ne ferez) pas toujours la même chose.

À ce titre, il n’est pas rare qu’on demande au vendeur (à la vendeuse) de jouer en partie à l’animateur/animatrice commercial(e) (voir sur cette page pour plus de détails). Par exemple, vous pouvez avoir à faire la démonstration d’un produit ou participer à un événement organisé au sein du magasin. Ce sera plutôt le cas en grande surface, mais il n’est pas rare que les magasins spécialisés lancent des happenings (comme le faisait la boutique Sephora des Champs-Élysées il y a quelques années : ses vendeurs et vendeuses devaient danser dans la rue pendant une dizaine de minutes chaque jour, afin d’attirer l’attention des passants).

4. Une formation essentielle

Les métiers de la vente sont comme ceux de l’hôtessariat : il est possible d’y accéder sans diplôme particulier. Vous pouvez devenir vendeur (vendeuse) comme vous deviendriez hôte/hôtesse d’accueil, hôte/hôtesse dans l’événementiel ou animateur/animatrice commercial(e). Mais il est tout aussi vrai qu’une formation solide dans ce domaine peut vous aider à décrocher un poste plus attractif, à accéder à des responsabilités plus importantes et à grimper plus rapidement les échelons.

Bien qu’optionnelle, une formation est donc recommandée, notamment si vous envisagez de faire carrière comme vendeur (vendeuse). Jetez un œil à l’article dédié pour savoir quels cursus mènent au métier !

5. De vastes opportunités d’évolution

Cinquième et dernier point : le métier de vendeur (vendeuse) ouvre la porte à quantité d’évolutions possibles. Notamment au sein de la même enseigne : avec de l’expérience, vous pouvez briguer un poste de chef de rayon (dans une grande surface) ou de chef d’équipe/de département (dans un magasin spécialisé ou un petit commerce). Il vous est également permis d’aller voir ce qu’il se passe dans les autres métiers liés à la vente et à l’animation commerciale (attaché commercial, démonstrateur, etc.). Un peu plus haut miroitent les postes de gérant et de directeur de magasin.

Toutefois, rien ne vous empêche de voler de vos propres ailes. Et, pourquoi pas, d’ouvrir votre propre boutique !

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