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]]>Contrairement à ce que l’on peut parfois s’imaginer, l’hôtesse de l’air n’est pas simplement une serveuse d’avion qui voyage aux quatre coins du monde, elle est bien plus que cela. En premier lieu, il s’agit en effet d’être au service des passagers en leur proposant des boissons, repas et autres accessoires selon ce qui est disponible sur le vol et ce qui est prévu par la compagnie. L’hôtesse doit donc s’assurer auprès de tous les passagers que chacun a bien tout ce qu’il lui faut afin que son expérience soit la plus agréable possible.
Mais les hôtesses de l’air sont aussi garantes du bon déroulement du vol et du respect des consignes de sécurité. Elles ont pour rôle d’expliquer aux passagers à chaque début de vol la bonne marche à suivre en cas de problème, de s’assurer que les bagages sont correctement rangés, que rien ne représente un obstacle dans les allées de l’appareil ou n’importe quel autre risque durant le vol. Lorsque le commandant souhaite que des mesures de sécurité spécifiques soient appliquées dans son appareil, c’est au personnel de bord et donc aux hôtesses de l’air qu’il va demander de veiller à leur bonne application. L’hôtesse de l’air a donc un véritable rôle à jouer en matière de sécurité dans un avion.
Enfin, l’hôtesse de l’air a aussi pour rôle de garantir la bonne image de la compagnie aérienne pour laquelle elle travaille. Elle se doit donc de faire en sorte que son travail soit parfaitement effectué, mais aussi de véhiculer une image positive et appréciable pour le public de la compagnie de vol. Elle influence donc directement l’expérience de chaque client.
Dans le cadre d’un recrutement pour devenir hôtesse de l’air, plusieurs étapes sont à prendre en compte pour pouvoir parvenir au but souhaité. Il y a bien évidemment la partie formation qui consiste à suivre un parcours formatif permettant de disposer des compétences et connaissances nécessaires pour devenir hôtesse de l’air. Si des formations sont proposées en interne dans les grandes compagnies aériennes, un parcours formatif dans les métiers de l’accueil ou encore des expériences significatives dans le domaine peuvent être un véritable plus qui feront pencher la balance en sa faveur.
Une fois sa candidature déposée vient le plus souvent le moment de l’entretien d’embauche. Ce dernier a pour objectif de tester ses connaissances pour le recruteur, mais aussi de s’assurer qu’il a en face de lui la bonne personne pour le poste à pourvoir. C’est donc le moment ou jamais de mettre en avant ses atouts comme par exemple ses qualités relationnelles, son sens de l’écoute, son envie d’aider l’autre, etc. Il est aussi intéressant en amont du rendez-vous de se documenter sur la compagnie aérienne chez laquelle on postule pour montrer que l’on connait son histoire, mais aussi, et surtout ses valeurs et que l’on saura donc parfaitement s’adapter. Par ailleurs, le langage corporel peut aussi en dire beaucoup, c’est pourquoi on optera pour une position droite et que l’on se montrera souriante malgré son potentiel stress.
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]]>Le métier d’hôtesse d’accueil est un métier qui permet de réaliser plusieurs missions différentes dans des secteurs d’activité variés. En effet, cette spécialiste du relationnel et de l’accueil va être postée à des endroits stratégiques afin de recevoir le public et de le guider. Il peut par exemple s’agir d’un poste d’accueil dans un immeuble de bureau ou une administration. Il peut également s’agir de prendre en charge la gestion du standard téléphonique et l’accueil physique pour une entreprise. L’hôtesse d’accueil va aussi pouvoir intervenir lors d’événement en effectuant l’accueil du public, mais aussi en guidant ce dernier sur place en lui apportant les renseignements souhaités.
En somme, l’hôtesse d’accueil peut avoir de multiples rôles en fonction de la mission qui lui sera confiée et c’est justement cela qui fait toute la richesse de ce métier. Opter pour un poste d’hôtesse d’accueil c’est donc avant tout exercer ses talents en matière de relationnel puisque l’accueil est au cœur de l’activité. Mais c’est aussi faire preuve de rigueur, de sérieux, d’organisation et de compréhension pour pouvoir se montrer efficace et proactive sur un poste.
Chaque expérience professionnelle est donc l’occasion de découvrir de nouvelles personnes, un nouvel univers et de faire appel à ses capacités d’adaptation puisque les missions et les tâches qui peuvent être demandées seront généralement très variées d’un poste à l’autre.
Comme n’importe quel autre métier, le métier d’hôtesse d’accueil nécessite de disposer de certaines compétences bien précises. Ces compétences peuvent être acquises à travers de précédentes expériences professionnelles ou encore « sur le tas » comme on dit, soit grâce à une première expérience en tant qu’hôtesse d’accueil. Cela étant, pour accéder à des postes plus convoités et ravir les échelons avec plus de facilité, il est tout à fait possible de commencer par suivre une formation.
Il existe en effet plusieurs types de formations qui peuvent permettre de se former à ce type de profession. Le diplôme qui est le plus adapté sera très certainement le Bac pro Métiers de l’Accueil qui consiste justement à former celles et ceux qui le souhaitent aux métiers dédiés à l’accueil du public. Cette formation courte est idéale lorsque l’on souhaite rapidement entrer dans la vie active et pratiquer le métier d’hôtesse d’accueil.
On peut aussi évoquer le Bac pro SAPAT (Services Aux Personnes et Aux Territoires), le Bac pro AGOrA (Assistance à la Gestion des Organisations et de leurs Activités) et ajouter une mention complémentaire à l’un de ces Bacs avec une MC accueil dans les transports ou encore une MC accueil-réception.
Il est aussi à envisager de poursuivre la formation choisie après le Bac pour acquérir d’autant plus de compétences et ainsi bénéficier d’un profil solide à proposer lors des recrutements avec par exemple un BTS dans le domaine du tourisme, de la vente ou encore de la communication. L’occasion d’élargir son champ de compétence et donc d’apporter une véritable plus-value à son profil pour se démarquer des autres candidats potentiels.
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]]>L’organisation de son temps constitue la clé d’épanouissement quand on travaille en tant qu’hôtesse de l’air. Elle consiste à lister les différentes tâches à faire dans la journée. Ensuite, faites le trie de vos travaux du jour par ordre de priorité. Aujourd’hui, il existe plusieurs méthodes éprouvées pour optimiser son temps de travail en tant qu’hôtesse de l’air. Trouvez la bonne formule et le moyen adéquat pour la mettre en application dans votre quotidien.
En effet, une gestion optimale de son temps de travail permet de ne pas être débordé. Gage d’équilibre, elle vous permet de définir une heure précise et raisonnable pour quitter votre lieu de travail après les voyages. Ainsi, vous êtes exempte de tout sentiment d’anxiété ou de culpabilité quant aux obligations qui vous incombent. En même temps, vous pourrez dégager un nombre d’heures assez suffisant pour les exigences de votre vie personnelle.
Être une hôtesse de l’air n’est pas synonyme d’une occupation permanente. Les horaires de travail sont d’ailleurs fixés par l’agence de tutelle. De ce fait, vous avez une idée globale de votre emploi du temps au travail. Vous pouvez donc adapter votre planification de travail selon votre vie personnelle. Cela passe par la définition de vos priorités de la journée. Limitez-vous en à 3 par jour. Bien entendu, il est question d’obligations importantes et pressantes que vous devez forcément effectuer.
Ces tâches représentent vos seules priorités du jour. Une fois celles-ci réalisées, vous pouvez penser à d’autres moins importantes. En tant qu’hôtesse de l’air, déterminer ses priorités en début de journée vous permet d’aller à l’essentiel et de concilier l’utile à l’agréable.
L’entourage joue un rôle important dans la conciliation de la vie professionnelle et de la vie personnelle. Être entourée de bons collaborateurs vous aide à optimiser votre temps et à accomplir rapidement les formalités liées à votre poste à chaque retour de voyage.
En dehors de votre lieu de travail, avec votre statut d’hôtesse de l’air, une bonne organisation interne à la maison (une nounou, le partage des tâches avec votre partenaire, etc) devrait aussi vous permettre de ne pas être vite débordée et de gérer au mieux travail et vie privée.
Se consacrer corps et âme à son travail est certes un excellent moyen pour le développement de sa carrière professionnelle. Cependant, il est fortement conseillé de savoir faire le break. Ecouter de la musique, faire du sport, aller au cinéma, dormir pour limiter les effets du décalage horaire vous aiderait énormément à équilibrer votre vie d’hôtesse de l’air et votre vie privée. Ces moments permettent d’inverser votre routine quotidienne et de prendre du temps pour vous et vos proches. Ils font du bien au moral et impactent d’ailleurs positivement vos performances au travail.
Le métier d’hôtesse de compagnie aérienne est plutôt stressant. Pour cela, après une période dense de travail, il est important de prendre des semaines de congé. Sélectionnez un endroit tranquille et apaisant pour passer votre séjour. Cela peut être une destination que vous avez convoitée lors de vos récentes missions. Vous pouvez aussi décider de rendre visite à la famille ou aux amis. C’est une meilleure façon de briser la routine quotidienne de votre métier d’hôtesse de l’air.
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]]>Comme lors de tout entretien, il est important de bien connaître le métier pour lequel vous postulez et encore plus pour celui d’hôtesse de l’air. Lorsque vous exercer ce métier, vous faites partie du personnel navigant commercial. Même si cette profession fait rêver de très nombreuses jeunes filles, il n’en est pas moins difficile de le pratiquer. En effet, le métier d’hôtesse de l’air ne consiste pas seulement pas seulement à voyager, connaître de nouveaux horizons, sourire ou encore servir des boissons aux passagers.
Ce métier est plus ardu qu’il n’y parait, ce qui justifie l’exigence des recruteurs lors du choix de son personnel naviguant. Pour réussir dans ce métier, il est important de mettre en avant ses qualités physiques et une très bonne santé au moment de l’entretien d’embauche. En effet, il faut savoir que la plupart du temps, vous serez amené à travailler debout avec un nombre de passagers qui peut s’avérer être élevé et pas tout le temps avenant.
Au moment de votre entretien d’embauche pour un poste d’hôtesse de l’air, il est important pouvoir prendre en compte quelques critères afin de vous démarquer des autres candidats. Sachez que votre but n’est pas de convaincre le recruteur de vos compétences mais de convaincre le recruteur que vous détenez les compétences pour occuper le poste d’hôtesse de l’air. Afin de vous aider à vous différencier lors de votre entretien, voici quelques arguments de motivation qui pourraient faire pencher la balance de votre côté au moment du choix final de la part du recruteur :
Afin de taper dans l’œil du recruteur, il est important de préparer du mieux possible votre entretien pour décrocher un poste d’hôtesse de l’air au sein d’une compagnie et notamment pour éviter le stress de l’entretien. En ce sens, afin que tout se déroule parfaitement, il est primordial de réussir la préparation de l’entretien qui sera plus facile à appréhendez s’il est bien préparé.
Quelques jours avant le jour-j, n’hésitez pas à noter sur une feuille les différentes raisons qui vous poussent à faire ce métier et entrainez-vous à exprimer vos motivations à voix haute afin d’être parfaitement à l’aise avec ces dernières. Par ailleurs, exercez-vous à décrire votre parcours. Cela peut vous éviter d’être déstabilisé lors que le recruteur vous demandera de parler de vous.
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]]>Il faut savoir que les hôtesses de l’air ou les stewards (appellation masculine) forment le personnel naviguant commercial et interviennent durant l’ensemble des étapes d’un vol. Une journée type de la part d’une hôtesse de l’air commence très souvent en salle de briefing afin de faire connaissance avec l’équipage. C’est à ce moment là que le chef de cabine distribue les rôles aux différents membres de l’équipe en fonction des différents postes (sécurité, volet commercial…). Avant le début du vol, hôtesse et stewards doivent débuter leur travail à savoir : contrôler le bon fonctionnement des appareils ainsi que des équipements de sécurité de la cabine (emplacement des gilets, état des toboggans, chemin lumineux…), faire du rangement, vérifier l’état de marche des interphones avec le poste de pilote ainsi que l’accueil des passagers à bord et une prise en charge personnalisée.
Durant le vol, l’hôtesse se doit de rappeler aux voyageurs les différents consigner de sécurité mais également informer des équipements de sauvetage ainsi que les procédures en cas d’incident durant un vol. Sachez que c’est durant cette étape que les qualités de relationnel de la part d’une hôtesse de l’air doivent s’observer. Enfin, l’hôtesse doit également assurer un service à bord en servant notamment les plateaux repas ainsi que les boissons aux passagers et gérer l’approvisionnement, la gestion des stocks mais également la tenue des comptes.
Pour exercer le métier d’hôtesse de l’air ou de steward, il faut savoir que l’apparence physique est l’un des critères à prendre en considération. En effet, il est important d’avoir une très bonne présentation. Sachez qu’un homme doit avoir une taille comprise entre 1,70m et 1,90m tandis qu’une femme doit faire entre 1,60m et 1,78m afin de pouvoir exercer ce métier. Par ailleurs, afin d’exercer ce métier, le professionnel doit posséder une très bonne condition physique ainsi qu’une très bonne résistance au stress afin d’être en mesure de supporter les différents changements climatiques, les heures de vols ainsi que le décalage horaire. Sachez aussi que posséder des connaissances en langues étrangères est un minimum tandis que l’anglais est requis pour pouvoir exercer ce métier.
Métier qui fait rêver de nombreuses personnes et notamment les jeunes filles, devenir hôtesse de l’air n’est pas si évident que ça. En effet, ce travail ne signifie pas seulement voyages, excursions et découverte du globe. Non, c’est avant tout un poste où il est important d’avoir une très bonne santé ainsi qu’une condition physique irréprochable.
Être hôtesse de l’air, c’est également être capable et en mesure de lier votre vie professionnelle avec votre vie familiale puisque vos plannings de vols pourraient vous amener à louper des évènements importants comme des mariages, anniversaires mais aussi des décès. Lors de l’entretien de motivation, il vous sera important de mettre en avant plusieurs points comme :
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]]>L’article Quelles qualités pour devenir une bonne chef de cabine ? est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Le métier de chef de cabine est à forte responsabilité. Vous êtes en effet responsable du personnel naviguant (hôtesses de l’air et stewards), organisez le travail et veillez à ce que tout se passe bien lors des vols moyens et longs courriers. L’encadrement du travail de l’équipe implique également la capacité à gérer et régler les éventuels problèmes et conflits. La chef de cabine doit toujours être disponible en cas de questions de la part d’une hôtesse de l’air ou d’un steward.
Il faut ajouter aux missions de la chef de cabine :
Pour devenir chef de cabine, il est important d’être rigoureuse, organisée et de bénéficier de toutes les qualités relatives à l’encadrement d’une équipe. C’est un métier de relationnel. Être à l’aise dans la communication est donc indispensable, tant avec l’équipe qu’avec les passagers.
Un autre point est la bonne condition physique. En effet, une chef de cabine travaille d’une part sur des horaires décalées, et doit d’autre part rester longtemps debout lors des vols. Une bonne condition physique est essentielle car la fatigue peut avoir des répercussions sur l’humeur et la vigilance au travail. Or, une chef de cabine de confiance a besoin de toute son énergie pour veiller à la sécurité à bord, répondre aux questions des passagers et encadrer le travail des hôtesses de l’air et des stewards.
Sans oublier qu’à bord, certains passagers peuvent être « difficiles », c’est-à-dire faire preuve d’agressivité verbale ou bien ne pas respecter certaines règles de sécurité. La chef de cabine doit donc faire preuve de self-control et d’une bonne diplomatie pour la gestion des problèmes de comportement.
La chef de cabine doit savoir parler anglais et la langue pratiquée au sein de la compagnie. Il est en effet indispensable qu’elle puisse communiquer avec l’ensemble des passagers si besoin.
Enfin, une chef de cabine de confiance est celle sur qui le personnel navigant peut compter pour pratiquer les premiers secours. Actuellement en France, une formation de secouriste est exigée (Certificat Sécurité Sauvetage).
Vous êtes hôtesse de l’air depuis un moment et souhaitez voir votre carrière évoluer ? Pensez à considérer l’ensemble des critères cités ci-dessus et à faire le point sur vos points forts et vos points faibles. Le métier de chef de cabine résulte souvent de l’ancienneté et de l’expérience au sein de la compagnie. Et si la communication et la rigueur sont souvent très largement intégrées, une chef de cabine de confiance doit cependant être au point sur l’aspect organisationnel et sur les compétences d’encadrement d’une équipe.
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]]>En effet, elles doivent parfois gérer des imprévus ou des situations stressantes comme prendre en charge un voyageur qui ne se sent pas bien, ou encore aider une personne paniquée à gérer son stress afin de ne pas le propager aux autres passagers et créer une tension. Sans oublier que les vols durent parfois très longtemps, de jour comme de nuit, il faut donc savoir être aux petits soins pour les passagers afin qu’ils apprécient leur voyage même si celui-ci est très long, et qu’ils fassent de nouveau appel à la compagnie aérienne.
Le métier d’hôtesse de l’air ou de steward fait rêver : voyages à gogo, fierté de représenter une compagnie aérienne, cela donne envie. Ce métier permet en effet de parfois profiter des escales pour découvrir une ville même si ça n’est pas toujours le cas, en effet certaines escales ne durent que quelques heures et c’est le temps dont le personnel à besoin pour préparer l’avion pour le prochain voyage. Être hôtesse de l’air est également très enrichissant puisque cela permet de rencontrer énormément de personnes que ce soit des voyageurs ou du personnel d’aéroport, on en apprend donc beaucoup sur les différentes cultures du monde tout en maintenant un bon niveau en langues étrangères que ce métier requiert.
Malheureusement, il n’y a pas que des avantages. Ce métier est par exemple difficilement adapté à une vie de famille puisque les horaires sont très particuliers et changent sans arrêt, sans compter qu’on peut être plusieurs jours sans poser un pied chez soi. Le corps subit également le décalage horaire constant ainsi que les changements brusques de climat ce qui n’est pas très bon pour la santé. Pour finir, être hôtesse ou steward demande d’être sans cesse debout, ce qui peut être très fatiguant.
Si le métier d’hôtesse de l’air ou de steward vous intéresse et que vous souhaitez en faire votre métier, il faudra vous renseigner auprès des compagnies aériennes travaillant dans le secteur où vous vous trouvez puisqu’elles ont chacune leurs critères de recrutement. Cependant il est quasiment toujours demandé d’être un ressortissant de l’Union Européenne de plus de dix-huit ans, d’être titulaire du baccalauréat au minimum, de parler l’anglais couramment voire d’autres langues étrangères et de savoir nager.
Il vous sera également nécessaire d’obtenir le CCA : Cabine Crew Attestation, un diplôme reconnu par toutes les compagnies aériennes d’Europe. Généralement, les compagnies aériennes organisent des journées de recrutement où elles engagent des stagiaires que ce soit pour être hôtesse de l’air ou steward, qu’elle va ensuite former selon ses propres critères. Pour avoir toutes vos chances d’être embauché, l’idéal est d’avoir déjà de l’expérience dans le domaine commercial ou dans la gestion de clientèle. Les qualités essentielles sont notamment la patience, la pédagogie, la maîtrise de soi, la bonne gestion du stress, le sens du service ou encore une bonne élocution.
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]]>Quelle que soit la profession considérée, tout entretien de recrutement génère du stress chez la majorité des candidats. Après tout, cette étape représente un enjeu qui peut transformer leur quotidien. Alors si vous ressentez du stress à l’approche d’un entretien pour devenir hôtesse de l’air, rassurez-vous : c’est normal !
Cela dit, le métier d’hôtesse de l’air nécessite de nombreuses compétences, dont la gestion du stress. Il est donc compréhensible que vous soyez attendue au tournant sur la façon dont vous gérez votre stress dès l’étape de l’entretien d’embauche. Une hôtesse de l’air doit en effet être capable de garder son sang-froid en toutes circonstances. Qu’il s’agisse de faire preuve de patience face à un voyageur malpoli ou de se montrer rassurante face aux angoisses de certains passagers, la gestion du stress fait partie du quotidien d’une hôtesse de l’air.
Les recruteurs sont donc particulièrement attentifs à déceler une bonne résistance au stress et des nerfs à toute épreuve chez les candidates reçues en entretien. Pas de panique pour autant : si vous êtes bien préparée et que vous parvenez à vous montrer assez détendue (tout en restant professionnelle, bien sûr), il y a de grandes chances que vous vous démarquiez des autres candidates.
Pour faire face au stress avec sérénité, la clé réside dans la préparation. L’entretien pour devenir hôtesse de l’air devient bien plus facile à appréhender si vous l’avez bien préparé. Plusieurs jours avant l’épreuve tant redoutée, prenez le temps de noter sur une feuille les raisons qui vous poussent à choisir ce métier exceptionnel. Puis, entraînez-vous à parler de vos motivations à voix haute.
De même, exercez-vous à décrire votre parcours (formations et expériences professionnelles) afin de savoir quoi répondre quand le recruteur vous dira : « Parlez-moi de vous ». Vous trouverez ainsi facilement les mots pour convaincre votre interlocuteur de vous embaucher. Autre conseil important : renseignez-vous sur la compagnie aérienne dans laquelle vous postulez et sachez dire pourquoi elle vous intéresse tout particulièrement.
Votre projet professionnel et votre discours sont bien ficelés ? Très bien. Il vous reste maintenant à vous vider la tête avant d’entrer dans la salle d’entretien. Pour cela, le mieux est de bien respirer. Ce conseil peut sembler évident, mais il est très efficace. Il existe en effet des techniques de respiration relaxante qui vous aideront à relâcher le stress d’avant entretien.
Quand vous êtes dans la salle d’attente ou dans les transports pour vous rendre en entretien (ou même chez vous avant de partir), posez-vous tranquillement. Prenez une profonde inspiration pendant 10 secondes. Puis expirez pendant 10 secondes pour vider totalement vos poumons. Renouvelez l’opération autant que nécessaire. Vous allez sentir le stress s’envoler peu à peu.
Ressentir du stress lors d’un entretien pour devenir hôtesse d’accueil est donc tout à fait normal (vous êtes loin d’être la seule, croyez-nous). C’est la façon dont vous allez le gérer et le montrer (ou non) qui va faire la différence. Alors, respirez un grand coup et appliquez les conseils que nous avons vu dans cet article. Tout va bien se passer.
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]]>L’article Les perspectives d’évolution professionnelles du métier d’hôtesse de l’air est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Avant de commencer, il convient de se renseigner un peu plus précisément sur les différentes missions de l’hôtesse de l’air. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles ne consistent pas simplement à servir des plateaux-repas.
En effet, le personnel navigant commercial doit s’assurer que tous les équipements de sécurité sont présents dans l’avion avant que les passagers n’embarquent. L’hôtesse de l’air doit ensuite guider les voyageurs afin qu’ils trouvent leur place, et veiller à leur confort et à leur sécurité tout au long du vol.
Sans forcément changer de statut, l’hôtesse de l’air va pouvoir commencer à évoluer en effectuant un changement de classe. Les missions peuvent ainsi varier d’une classe à l’autre, et le cadre de travail peut, lui aussi, être radicalement différent. Si elle est habituée aux vols domestiques, elle pourra également évoluer en passant à des vols moyens ou longs courriers.
Tout au long de sa carrière, l’hôtesse de l’air peut devenir chef de cabine. À ce moment, elle a la responsabilité de l’ensemble des hôtesses de l’air, mais aussi des stewards sur les différents vols. Ainsi, elle veille à ce que tout se passe bien, aussi bien pour le personnel navigant commercial que pour les voyageurs.
Le métier de chef de cabine est accessible via une promotion qui peut se faire en interne. Toutefois, pour en profiter, il est impératif de faire preuve d’une rigueur irréprochable, mais aussi d’un sens de l’organisation indéniable.
Le statut de chef de cabine ne constitue pas la finalité du métier d’hôtesse de l’air. Il existe, en effet, encore un grade supplémentaire, qui est celui d’instructeur et de chef des personnels navigants.
Cette profession consiste plus spécifiquement à mettre en place les différentes mesures de sécurité et de confort afin que le voyage des passagers se passe pour le mieux. Il s’agit de bien connaître et de respecter la réglementation aéronautique, mais aussi les différents impératifs qui sont de nature commerciale.
La principale mission de l’instructeur et chef des personnels navigants est donc de veiller au respect de la réglementation au sens large. Il a aussi pour mission d’assurer la formation des autres PNC.
Lorsque l’hôtesse arrive à un moment de sa carrière où elle souhaite obtenir plus de stabilité, elle a également la possibilité de se reconvertir dans l’accueil, et plus spécifiquement dans le métier d’hôtesse de l’air au sol.
Il s’agit alors d’accueillir les différents passagers, de les conseiller et de répondre à leurs questions, mais aussi de mettre en avant les différents produits ainsi que les services qui sont proposés au sein de l’aéroport.
Décider de devenir personnel navigant commercial ne se fait pas au hasard. La profession comporte de nombreux avantages, comme le fait de pouvoir voyager autour du monde. Néanmoins, il faut être conscient que cela n’est pas de tout repos. Mieux s’assurer d’être fait pour ce métier.
En effet, mieux vaut disposer d’une forme physique inaltérable, car l’on doit passer de nombreuses heures en altitude. De plus, l’emploi du temps de ce métier ne laisse pas beaucoup de possibilités en termes de vie personnelle. On est très souvent amené à travailler, et ce, même au cours d’événements familiaux.
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]]>Intervenant à toutes les étapes d’un vol, l’hôtesse de l’air fait partie du personnel naviguant commercial. Il s’agit d’une profession dont de nombreuses jeunes femmes rêvent, mais qui est loin d’être aussi évidente que l’on pourrait le croire. Il n’est pas uniquement question de voyager, de découvrir de nouveaux horizons, de sourire et de servir repas et boissons aux passagers d’un avion. Si le travail des agents de bord se limitait à ses missions, quasiment tout le monde pourrait pratiquer ce métier. La tâche est plus ardue, ce qui pourrait justifier l’exigence dont font preuve les recruteurs dans la sélection de ce personnel.
En effet, le métier d’agent de bord nécessite au préalable d’avoir une santé de fer et une bonne condition physique. La plupart du temps vous serez appelé à travailler debout avec un nombre de passagers qui peut être élevé et dont certains peuvent ne pas toujours se montrer avenants. Vous l’avez compris, il faut avoir des nerfs à toute épreuve, ce d’autant plus que vous pouvez subir les effets du décalage horaire.
Pratiquer le métier d’hôtesse de l’air implique également d’être en mesure de concilier vie professionnelle et vie familiale. Il n’est aucunement dit que vous devez d’office vous priver du bonheur d’être en couple et de fonder une famille, mais il est important avant de se lancer de savoir que les choses pourront ne pas être simples. Votre planning de vol peut vous empêcher d’être présent à des occasions comme des anniversaires, des fêtes de baptême, des mariages ou des événements malheureux à l’instar d’un décès. C’est conscient de tous les tenants et aboutissants du métier que vous pourrez vous rendre confiant à votre entretien.
De manière générale, il faut tenir compte de ces 6 conseils pour préparer votre entretien d’embauche. Le but n’étant pas de convaincre le recruteur de vos compétences, mais de le convaincre que vous détenez les compétences indiquées pour occuper le poste d’hôtesse de l’air en jeu, voici quelques arguments de motivation que vous pouvez donner :
Bien évidemment, votre discours doit être adapté aux questions qui vous seront posées.
Pour devenir hôtesse d’accueil il faut passer l’étape des entretiens, ce qui n’est pas aussi difficile que l’on pourrait le penser. Si vous savez très précisément pourquoi vous avez choisi ce métier et une compagnie en particulier, il n’y a pas de raison que vous ne puissiez pas trouver des mots pour convaincre les recruteurs.
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]]>Le métier d’hôtesse de l’air ou de steward place ces agents comme faisant partie du personnel navigant commercial. Il s’agit donc d’un métier que l’on exercera sur les vols commerciaux et donc il sera possible de rejoindre différentes compagnies. Si les vols peuvent être variables, le travail se fera toujours au sein de la même compagnie puisque c’est elle qui emploie les hôtesses de l’air et les stewards. Une fois à bord de l’avion, le personnel navigant commercial (PNC) dépend directement du commandant de bord. Le rôle de l’hôtesse de l’air consistera à vérifier le bon fonctionnement des appareils et des équipements en cabine y compris les équipements de sécurité ce qui lui confère un rôle de grande importance. Elle sera en charge de l’accueil des passagers, et aura également la mission de transmettre à ces derniers les consignes de sécurité ainsi que l’emplacement des équipements de sécurité. Qui plus est, l’hôtesse de l’air aura également pour mission d’informer les passagers durant le vol, de prendre les commandes, d’assurer le service, de gérer les stocks et les approvisionnements à bords ainsi que de tenir un livre de compte. En somme, plus que l’accueil et l’accompagnement des passagers durant le vol, l’hôtesse de l’air aura un véritable rôle à jouer en ce qui concerne la sécurité, elle est d’ailleurs formée à différents gestes de premiers secours et doit suivre une procédure bien spécifique en cas de problèmes.
En tant qu’hôtesse de l’air, il est tout à fait possible d’envisager une évolution dans sa carrière et d’évoluer au sein de sa compagnie aérienne. En effet, c’est généralement au sein de la même compagnie que l’évolution se fera puisque les recrutements se font le plus souvent en interne. Bien choisir sa compagnie aérienne dès le départ sera donc important pour la suite de sa carrière. Il sera ainsi possible d’évoluer notamment en prenant en charge les parties des cabines les plus hautes de gamme en exerçant comme hôtesse de l’air en classe affaire par exemple, les exigences de la clientèle seront alors plus importantes. Il sera également possible d’accéder au poste de chef de cabine afin de manager une équipe d’hôtesses de l’air et de stewards. Les responsabilités confiées seront alors bien plus importantes et des compétences managériales seront nécessaires pour que chaque vol se déroule à la perfection. Le poste de chef de cabine principal pourra aussi être envisagé afin de manager une équipe encore plus importante. Enfin, il est également possible d’envisager une reconversion au sol notamment dans les services d’accueil, commerciaux ou encore administratifs, il ne s’agit pas d’une véritable évolution en soit, mais plutôt d’une nouvelle direction que l’on pourra donner à sa carrière si l’on ne souhait plus assurer les vols. Il existe donc différentes possibilités que l’on pourra mettre en place lorsque l’on souhaite évoluer en tant qu’hôtesse de l’air. Effectuer des formations complémentaires et être à l’écoute du processus de recrutement de sa compagnie aérienne sera le meilleur moyen de mettre toutes les chances de son côté et d’accéder à des postes plus intéressants.
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]]>Il s’agit d’un métier à forte responsabilité. En effet, ce personnel navigant travaille sur les vols moyens et longs courriers et est responsable des hôtesses de l’air et stewards. Il encadre et organise le travail de l’équipe commerciale et se charge de régler les problèmes auxquels elle pourrait être confrontée.
C’est le responsable de la sécurité. En effet, avant le décollage, le chef de cabine vérifie que la cabine répond à toutes les normes de sécurité et de sûreté et en rend compte au Commandant de bord (CDB). Il s’occupe également de l’aspect relationnel et commercial. Il est en contact direct avec les passagers et s’assure de leur bon accueil à bord ainsi que de leur confort et besoins.
Aussi, il contrôle l’avitaillement de nourriture, boissons, objets commerciaux et autres éléments importants. En l’absence de Chef de cabine principal (CCP), il est garant de la sécurité à bord. Au sol, il se charge de la formation du personnel navigant commercial.
Pour devenir chef de cabine, il est indispensable de remplir certaines exigences. Ainsi, même si l’on accède à ce poste par le niveau d’ancienneté, la formation de base est la même que pour être hôtesse ou steward, notamment le niveau bac ou plus.
De plus, une formation de secouriste (Certificat Sécurité Sauvetage) est actuellement exigée en France. La maîtrise de plusieurs langues dont au moins l’anglais et la langue parlée au sein de la compagnie est également primordiale.
Par ailleurs, il faut avoir une bonne condition physique, notamment en raison des horaires irréguliers et de la nécessité de rester debout pendant longtemps. Pour être chef de cabine, l’âge de début de carrière se situe entre 21 et 30 ans. Les critères de taille pouvant être imposés par certaines compagnies, varient pour les femmes entre 1,58 et 1,78m, et entre 1,70 et 1,92m, pour les hommes. La taille maximale peut néanmoins être limitée à 1,80m sur certains avions, à cause de leur fuselage.
Responsable de l’équipe de personnel navigant, ce professionnel doit être rigoureux et surtout organisé. Comme tout le reste du personnel navigant, le chef de cabine doit avoir une excellente présentation, être courtois et à l’écoute de la clientèle. Étant en contact direct avec les passagers, il doit faire preuve d’un sens de la communication et du relationnel ainsi que d’une maîtrise de soi et d’une patience à toute épreuve afin de gérer au mieux les passagers dits « difficiles ».
Ce poste n’a pas beaucoup de perspectives d’évolution. En effet, il peut évoluer vers celui de chef de cabine principal (CCP). Celui-ci se retrouve généralement sur gros-porteur du fait d’une composition d’équipage plus grande. Le CCP a pour rôle d’encadrer l’ensemble de l’équipage PNC, le chef de cabine présent étant son adjoint, sur un long courrier.
Le CCP organise les missions de son équipe sur le vol et s’occupe aussi la plupart du temps de la clientèle voyageant en classe supérieure. Comme évoqué plus haut, il est le principal interlocuteur du commandant de bord. Il s’assure donc également de la sécurité des passagers.
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]]>Encore appelés agents de bord, les hôtesses de l’air et stewards (appellation masculine) forment le personnel navigant commercial (PNC). Ils interviennent à toutes les étapes d’un vol.
La journée type du PNC commence au sol, lorsqu’il se rend en salle de briefing pour faire connaissance avec l’équipage. C’est à cette occasion que le chef de cabine distribue les rôles aux différents membres de l’équipe suivant les postes (sécurité, volet commercial, etc.). Avant même le début du vol, les qualités d’une hôtesse de l’air sont sollicitées. En effet, à ce moment, l’hôtesse de l’air et le steward ont pour rôle de :
Durant le vol, ils doivent rappeler aux voyageurs le respect des consignes de sécurité et les informer des équipements de sauvetage et des procédures en cas d’incident. C’est aussi l’étape où les qualités d’une hôtesse de l’air en termes de relationnel doivent s’observer.
Elle est chargée d’informer du bon déroulement du vol, d’assurer le maximum de confort aux passagers et doit donc répondre avec amabilité et patience aux demandes et aux attentes des passagers. Elle pourra par exemple, apporter les premiers soins en cas de malaise ou encore rassurer en cas de turbulences.
Par ailleurs, l’hôtesse de l’air doit assurer un service de bord en servant les plateaux repas et les rafraîchissements. Il arrive qu’elle vende quelques articles duty free. Elle s’occupe également de l’approvisionnement, de la gestion des stocks et de la tenue des livres de comptes.
En phase de descente, elle doit encore démonter les qualités d’une hôtesse de l’air en prévenant les passagers et débarrasser la cabine pour qu’elle soit propre en vue de l’atterrissage.
Le PNC reflétant l’image de la compagnie aérienne, l’apparence physique est l’un des premiers critères à prendre en considération. Le personnel doit donc avoir une bonne présentation. Les hommes doivent avoir une taille comprise entre 1.70 et 1.90 m et les femmes doivent faire entre 1.60 et 1.78 m.
En outre, étant donné que les agents de bord doivent supporter les rudes changements climatiques, les longues heures de vol et le décalage horaire, l’une des qualités d’une hôtesse de l’air est d’avoir une excellente condition physique et une bonne résistance à la fatigue et au stress.
Outre ces critères physiques, elle doit aussi :
Pour beaucoup devenir hôtesse de l’air ou steward est un rêve, mais pour accéder à ce métier d’accueil, il faut disposer des qualités d’une hôtesse de l’air ainsi que de certaines compétences essentielles.
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]]>De nombreuses petites filles en rêvent dès leur plus jeune âge, et pourtant, toutes les femmes ne finissent pas forcément par pratiquer le métier d’hôtesse de l’air. S’il impose à la fois le respect et l’admiration, dans les faits, il ne ressemble pas tout à fait à l’image que l’on s’en fait.
Devenir personnel navigant commercial, ou PNC si l’on connaît déjà le milieu, cela ne s’improvise pas du jour au lendemain. Et il n’est pas uniquement question de siroter des cocktails dans des endroits paradisiaques ou de servir des plateaux-repas en vol en souriant. Bien entendu, cela fait partie du métier… Mais il ne s’agit là que de l’aspect visible de l’iceberg, si l’on peut dire.
Concrètement, une hôtesse de l’air, au même titre qu’un steward, doit être capable de gérer toutes sortes de situations d’urgence, comme un atterrissage ou un amerrissage forcés, un problème technique, de la fumée à bord… Un PNC est responsable du bien-être des passagers, mais aussi de leur sécurité. Ils sont formés pour pouvoir gérer les malaises, les crises cardiaques, et même les accouchements.
De manière générale, le métier d’hôtesse de l’air nécessite d’avoir certaines compétences, mais aussi d’être prête à faire quelques sacrifices.
La question a le mérite d’être posée, et pour pouvoir y répondre, il faut avoir conscience de certains éléments.
Pour pouvoir réussir dans le métier d’hôtesse de l’air, il est impératif d’avoir une santé de fer, mais aussi d’avoir une grande aptitude physique : il est question de travailler à environ 30 000 mètres d’altitude dans une atmosphère pressurisée, debout avec un certain nombre de passagers, et un sommeil complètement décalé.
Votre condition physique doit donc être optimale et résistante, au même titre que votre capacité d’adaptation. De plus, dans la mesure où vous allez devoir être capable de gérer des situations d’urgence non-négligeables, votre gestion du stress doit être irréprochable. Vous l’avez compris, l’aspect commercial est important, mais c’est loin d’être la seule compétence requise pour devenir hôtesse de l’air.
Dernier point, et pas des moindres : pour pratiquer ce métier, il faut être prêt à faire certains sacrifices, car vous allez constamment vivre en décalage avec votre entourage. Les jours fériés, les fêtes de fin d’année, les anniversaires… Mieux vaut avoir conscience que vous risquez de passer à côté de nombreux événements avec vos proches.
Le métier d’hôtesse de l’air rend la conciliation entre vie professionnelle et vie privée très compliquée. Il n’y a rien d’impossible, bien entendu, mais mieux vaut avoir connaissance du fait que ce n’est pas forcément simple.
Si vous êtes désormais certaine de vouloir faire ce métier, rassurez-vous : il y a de nombreux avantages à être PNC ! Déjà, vous allez pouvoir gagner votre vie en voyageant, ce qui n’est pas rien !
Et si vous travaillez dans une bonne compagnie, vous allez pouvoir faire le tour du monde plusieurs fois. En règle générale, vous allez pouvoir rester plusieurs jours au même endroit, et donc disposer de temps pour explorer et visiter les lieux.
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]]>Les compagnies aériennes sont parfois amenées à retarder ou même à annuler des vols pour diverses raisons. La réclamation des passagers ne se fait pas attendre dans ce genre de cas et ils s’orientent généralement vers les hôtesses de l’air. Face à ce genre de problème, les hôtesses chez Transavia sont bien expérimentées pour savoir garder leur calme et se référer au Règlement (CE) n°261/2004, qui stipule que les compagnies aériennes ont le droit de changer ou d’annuler un vol dans les 14 jours précédant l’heure de départ.
Pour bien gérer une réclamation à Transavia, sur Airhelp par exemple, l’hôtesse de l’air se charge d’informer les voyageurs de leurs droits. Dans le cas où les modifications sont effectuées après le délai des 14 jours, les passagers ont droit à un dédommagement financier. Face à la réclamation des passagers, l’hôtesse peut proposer diverses options. En ce sens, la compagnie peut leur fournir un vol alternatif gratuit qui les mènera à leur destination. La compagnie doit également payer les dépenses engendrées par le temps d’attente.
Si les passagers ont dû payer de leur poche, il suffit qu’ils présentent à la compagnie les factures de leur dépense pour être remboursées. Si le vol de remplacement décolle après une heure suivant l’heure de départ prévue initialement et que l’arrivée est prévue dans les 2 heures après l’heure indiquée auparavant, le passager n’a pas le droit de réclamer une indemnisation.
L’aide d’une hôtesse Transavia peut être d’une grande importance pour les voyageurs qui subissent un retard de vol très important. Face à ce genre de situation, la réclamation des passagers peut être assez impressionnante. En leur formulant leur droit, l’hôtesse peut calmer les esprits et diminuer la tension. Il est ainsi important d’expliquer aux voyageurs qu’ils peuvent bénéficier d’une assistance si le retard est supérieur à 2 heures pour un vol court et à 4 heures pour un long-courrier. Ils peuvent demander un remboursement si le retard va au-delà de 5 heures.
Une compensation leur sera attribuée si l’heure d’arrivée à destination est prévue à 3 heures ou plus de l’heure indiquée lors de la réservation. L’hôtesse de l’air peut également recommander aux passagers de demander un remboursement de leur billet. Il est possible de cumuler ce dernier avec l’indemnisation octroyée par la compagnie. Il est important de préciser qu’une réclamation des passagers peut être stressante face à ce type de problème, mais en leur proposant des solutions adeptes, la tension peut être rapidement tempérée.
Il arrive des fois que les compagnies aériennes n’ont plus de places pour des passagers qui ont déjà eu une réservation confirmée. Les professionnels peuvent offrir une compensation aux voyageurs, mais ils n’ont aucun droit de les contraindre à accepter l’offre. Par conséquent, les passagers peuvent bénéficier de différents droits.
Tout d’abord, les voyageurs ont droit à l’information qui se traduit par l’octroi d’un document stipulant les conditions d’assistance et de dédommagement. Ils ont également droit à une prise en charge qui inclut la restauration, l’hébergement et le transport entre le terminal et l’endroit où ils sont logés. Les passagers peuvent aussi bénéficier de 2 appels téléphoniques à la charge de la compagnie aérienne.
Pour finir, les passagers ont le droit à une compensation comprise entre 250 et 600 €. Le montant exact est déterminé en fonction de la distance du vol. Le fait de maîtriser les différentes dispositions permet à une hôtesse Transavia de mieux réagir et gérer la réclamation des passagers de façon professionnelle.
Savoir faire face aux réclamations des passagers est crucial lorsqu’il y a des grèves au sein d’une compagnie aérienne. Si la grève concerne les pilotes ou les hôtesses à Transavia, un remboursement de billet est alloué aux passagers en plus d’une indemnisation. Les voyageurs peuvent également exiger une indemnisation qui peut s’élever à 1 200 €, si leur bagage aurait été perdu ou endommagé durant le transport.
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