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]]>Il est crucial de sélectionner le type de banderole qui correspond parfaitement aux besoins de votre clientèle. En fonction du message à transmettre et de la durée de l’événement, le choix de la banderole peut s’avérer déterminant dans la réussite de la communication.
Pour une communication ciblée, il convient de commander des banderoles publicitaires qui s’harmonisent avec les objectifs définis. Le choix d’une banderole peut influencer significativement l’efficacité de la diffusion du message voulu. Ainsi, prendre en compte le type de banderole est une étape critique.
La banderole économique convient pour des utilisations ponctuelles et peut être employée tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Pour une performance optimisée, elle est souvent conçue avec un grammage de 440g/m², lui conférant une durabilité pouvant atteindre deux ans. À l’inverse, la banderole professionnelle, plus robuste avec un grammage de 510g/m², est idéale pour des usages de longue durée, pouvant aller jusqu’à cinq ans.
Le choix du support de la banderole est aussi crucial que son design. Selon les conditions d’exposition, comme un environnement venteux, il est judicieux d’opter pour une bâche microperforée qui résiste mieux aux aléas météorologiques. De plus, pour une visibilité maximisée, la banderole peut être imprimée des deux côtés.
Quant au matériel de la banderole, il importe de sélectionner un support qui reflète la qualité du message promotionnel. Les bâches en PVC sont souvent privilégiées pour leur durabilité et leur efficacité à long terme, alors que les bâches en tissu se distinguent par leur élégance et mettent en valeur les graphismes.
Lors de la mise en place d’une banderole, différentes options d’installation doivent être envisagées. La manière dont la banderole est posée peut avoir un impact significatif sur sa visibilité et sa durabilité. Il est donc essentiel de ne pas négliger cette étape.
En fonction de l’emplacement et de l’usage, il existe diverses méthodes d’accrochage qui garantissent une présentation optimale et sécurisée de la banderole. De la fixation murale à l’accrochage libre, il est important de choisir la technique la plus adaptée.
La dimension esthétique d’une banderole joue un rôle prépondérant dans son pouvoir attractif. Un design soigné et impactant est essentiel pour attirer et retenir l’attention des passants ou des participants à un événement.
Une création graphique réussie doit non seulement refléter l’image de marque de l’entreprise, mais aussi être suffisamment accrocheuse pour se distinguer des autres supports publicitaires. L’objectif est de concevoir une banderole à la fois informative et esthétiquement plaisante.
Le contenu du message transmis par la banderole est primordial. Il doit être concis, clair et facilement compréhensible pour garantir une communication efficace. La formulation du message est un art qui requiert de la précision et de la créativité.
Il faut porter une attention particulière à l’équilibre entre l’information et l’impact visuel, afin de ne pas submerger le spectateur tout en s’assurant que le message principal est bien perçu et retenu.
Le choix de l’emplacement pour la diffusion de la banderole est un facteur déterminant pour l’efficacité de la campagne publicitaire. Un emplacement stratégique assurera une visibilité maximale et attirera l’attention du public cible.
Il est recommandé d’analyser les flux de circulation des personnes dans la zone de diffusion pour choisir un lieu où la banderole sera constamment visible et lira facilement par un large public.
En conclusion, la banderole publicitaire est une composante essentielle d’une stratégie de communication réussie. Un bon choix de banderoles, tant au niveau du format que du matériau, associé à une conception graphique attrayante et un message percutant, peut transformer une simple annonce en un puissant outil de marketing. En tenant compte de tous ces éléments, vous êtes désormais armé pour créer une banderole publicitaire qui non seulement captivera l’attention de votre public, mais aussi renforcera l’image de votre entreprise ou de votre événement.
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]]>L’article 6 raisons de participer à un salon professionnel est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Plus de 2000 salons professionnels sont organisés chaque année en Europe et près d’une entreprise sur 2 expose dans un salon professionnel au moins une fois par an.
Mais pourquoi les salons professionnels ont autant de succès auprès des entreprises ? Voici 6 avantages à participer régulièrement à des salons professionnels.
Posséder son stand dans des salons professionnels permet de rencontrer de nombreuses personnes. En quelques jours, un salon pro permet de rencontrer toutes les personnes influentes de votre domaine, des partenaires, des collaborateurs, des investisseurs, des clients, des prospects, des concurrents…
En regroupant tout un secteur d’activité pendant plusieurs jours, les salons professionnels permettent de rencontrer des partenaires existants. Mais aussi d’en dénicher de nouveaux, même des partenaires internationaux.
L’un des objectifs d’une entreprise, lorsqu’elle participe à un salon pro, c’est de rencontrer de nouveaux prospects. Ces événements permettent de rendre la rencontre plus naturelle et même de toucher un nouveau type de clientèle. Le but, c’est de décrocher le plus de contrats possible, même des contrats internationaux !
Les salons professionnels permettent de nouvelles rencontres, mais aussi d’entretenir ses relations clients. C’est l’occasion de fidéliser vos clients en leur montrant qu’ils comptent pour vous. Invitations, pass VIP, promotions spéciales…
En participant à un salon pro, une entreprise espère évidemment que celui-ci va avoir une influence positive sur son chiffre d’affaires. En rencontrant de nouveaux clients et partenaires, en gagnant en notoriété, l’idée est de générer plus de chiffre d’affaires.
84 % des entreprises ayant participé à un salon professionnel ces dernières années indiquent qu’elles ont généré plus de chiffre d’affaires à la suite de leur participation.
Participer à des salons professionnels donne l’occasion de présenter ses nouveautés. En effet, ce sont des évènements particulièrement relayés par les médias. Il est donc intéressant de s’en servir comme d’une rampe de lancement pour ses nouveautés.
Attention, vous ne serez pas le seul à profiter de cette occasion, il faut prévoir une communication forte et un dispositif en béton pour dévoiler vos nouveaux services et produits.
Participer régulièrement à des salons professionnels donne l’occasion de booster sa notoriété en se faisant connaître par un public plus large et par ses pairs. Si renforcer la notoriété de votre entreprise fait partie de vos objectifs de salon, mettez-la en lumière : participer au concours du salon, à un débat, une conférence, faites en sorte de vous faire interviewer par un ou plusieurs médias…
Votre présence sur le salon doit représenter votre entreprise. Votre stand et vos animations doivent sortir du lot pour vous démarquer de la concurrence. Agencement, mobilier, décoration, signaux lumineux, couleurs, marketing, communication visuelle… Tout doit mettre en avant votre image de marque, les valeurs et la culture de l’entreprise pour être reconnaissable. Un stand de qualité et une belle organisation permettent de renforcer l’image de marque de l’entreprise en la crédibilisant auprès des participants et des visiteurs.
Les salons professionnels permettent également de se tenir informer sur les avancées de son domaine d’activité. En quelques jours, vous rencontrez vos pairs, des investisseurs, des entreprises internationales et toutes les personnes influentes de votre secteur. C’est l’occasion de participer aux débats, d’écouter les conférences proposées, de s’intéresser aux innovations, de participer au concours, d’aller visiter les stands d’à côté… Bref, vous en apprenez davantage sur votre marché et votre secteur d’activité.
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]]>L’article 9 choses que vous devez savoir au sujet du salon nautique avant de postuler comme hôte ou hôtesse ! est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Le salon nautique de Paris est un événement majeur dédié aux passionnés de la plaisance. Cette vaste vitrine accueille environ 800 exposants et plus de 1 300 marques liées au nautisme, avec une fréquentation qui s’est stabilisée autour de 250 000 visiteurs (mais qui a atteint des records de 300 000 visiteurs). En termes de fréquentation, il est donc comparable au salon du Bourget. On peut y voir des bateaux à voile, des bateaux à moteur et des embarcations variées (planches à voile, planches de surf, canoës, kayaks, etc.), disséminés dans trois univers d’exposition : la voile et le tourisme, la motonautisme et les équipements.
Le salon nautique se tient toujours au même endroit : au Parc des Expositions de la Porte de Versailles, à Paris. Il occupe généralement l’ensemble du Hall 1 (voile et tourisme) ainsi que les Halls 2.1 et 2.2 (respectivement pour les équipements et le motonautisme), en débordant sur le Hall 4. Il est organisé tous les ans, au début du mois de décembre. Et il s’étend sur 9 jours, à cheval sur une semaine et deux week-ends.
C’est la Fédération des industries nautiques (FIN) qui est propriétaire du salon nautique de Paris, depuis sa création en 1962. Aujourd’hui, et depuis 1995, c’est Reed Expositions France qui s’occupe de son organisation, sous la houlette de son président Michel Filzi. Alain Pichavant en est le commissaire général.
Dès les années 20, des salons sont organisés dans la capitale autour du monde du nautisme, notamment sur les quais de Seine et au Grand Palais (comme c’est le cas de nombreux autres événements, à l’instar de la FIAC). Mais le premier salon nautique officiel de Paris se tient en 1962, dans le bâtiment du CNIT, qui est alors installé au milieu d’un vaste chantier destiné à devenir La Défense. Dans la foulée, en 1964, la Fédération des industries nautiques voit le jour, donnant un coup d’accélérateur notable au salon nautique.
On peut y voir le plus évident : des bateaux, à voile et à moteur. Mais pas seulement, car le salon nautique accueille de plus en plus d’équipements utilisés dans le cadre des sports nautiques, comme des planches à voile ou des planches de surf. En outre, les professionnels viennent y présenter de nouvelles technologies relatives au nautisme, des services innovants, ainsi que des nouveautés liées à l’univers de la pêche. Bref, ce sont tous les loisirs nautiques qui se mettent à quai, en décembre, à la Porte de Versailles.
Comme d’autres salons majeurs (chocolat, agriculture…), le Nautic accueille de nombreux événements en marge de la présentation des bateaux et des équipements. Les visiteurs peuvent ainsi assister :
Le salon nautique de Paris a donc plus d’un événement passionnant dans sa cale !
Pour les hôtesses d’accueil, le salon nautique de Paris est une mission événementielle comme les autres. Le travail se focalise donc sur les aspects accueil et relationnel : prise en charge des exposants et des professionnels qui viennent s’installer en amont, accueil et orientation des visiteurs pendant l’événement, contrôle des billets à l’entrée, distribution des programmes, gestion du vestiaire, etc. Certaines hôtesses peuvent être amenées à travailler au sein du service VIP, une particularité du salon nautique, avec accompagnement de visiteurs triés sur le volet.
Aucun critère spécifique n’est retenu pour travailler durant le salon nautique comme hôtesse. Vous devez faire montre des qualités habituelles : présentation impeccable, élocution excellente, goût du relationnel, maîtrise de soi, politesse, maîtrise d’une langue étrangère… Si l’univers du nautisme vous intéresse tout particulièrement, ou que vous avez de l’expérience professionnelle dans ce domaine, ce seront des « plus » à ne pas négliger lors du processus d’embauche.
Pour candidater comme hôtesse à l’occasion du salon nautique de Paris, vous pouvez simplement faire le tri parmi les offres d’emploi affichées dans les job boards en cherchant spécifiquement cet événement. N’hésitez pas également à contacter les agences qui s’occupent du recrutement. Si vous travaillez déjà avec une agence et que vous avez exprimé votre intérêt pour ce salon, ou si vous avez eu l’occasion de jouer les hôtesses d’accueil durant le Nautic auparavant, il y a des chances que vous soyez rappelée automatiquement. Enfin, si vous devez passer un entretien d’embauche, vous pourrez toujours utiliser les informations que vous avez apprises en lisant cet article !
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]]>L’article Le salon du tatouage : un événement que les tatoués ont dans la peau ! est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>C’est un événement encore jeune. La première convention des tatoueurs s’est tenue en 1999 au Bataclan, puis en 2000 au Trianon, avant de disparaître corps et biens. Il aura fallu attendre treize ans pour que le tatoueur Tin-tin relance l’idée et en fasse un rendez-vous annuel, à partir de 2013.
Au départ simple « foire » au tatouage, sorte de vitrine améliorée du dixième art, le salon du tatouage a doucement pris ses marques pour s’imposer. Jusqu’à occuper la Grande Halle de La Villette, à Paris – rien que ça ! Il fallait bien cet espace pour accueillir ses centaines d’exposants (plus de 400 chaque année) et ses dizaines de milliers de curieux (plus de 30 000 visiteurs en 2018).
C’est donc dans un esprit festif que les artistes et les connaisseurs se réunissent sous le signe du tatou. Plus qu’une convention lambda, le salon du tatouage est à la fois une expérience (pour ceux qui n’y connaissent pas grand-chose et qui sont avides de découvrir) et un voyage (pour les admirateurs de cet art ancestral). C’est aussi, pour les professionnels, une occasion unique de se faire connaître et de montrer leurs créations.
Alors, qui que vous soyez, et quel que soit votre rapport (proche ou lointain, amoureux ou indifférent) au tatouage, la visite de ce Mondial s’apparente toujours à un séjour dans une dimension nouvelle et surprenante.
Que peut-on voir, au salon du tatouage ? Des tatous, bien sûr, puisqu’ils sont mis à l’honneur, portés par les professionnels de la chose. Le point d’orgue du salon du tatouage, ce sont les concours sous forme de défilés : meilleur dos, meilleur intégral, meilleur « petit couleur », etc. Ceux-ci permettent au public de découvrir les créations proposées par les artistes, et aux artistes de faire la démonstration de leurs multiples talents. Dans les coulisses, un jury de tatoueurs fameux (Luke Atkinson, Bill Salmon, Mark Mahoney…) consacre les plus belles productions. Tout le monde en garde un souvenir impérissable… Et surtout les modèles eux-mêmes, qui portent les vainqueurs directement sous la peau !
Mais on ne trouve pas que cela, au Mondial du tatouage. On peut également y voir des expositions, assister à des concerts, participer à des séminaires, découvrir les nouveautés en termes de matériel professionnel, et même expérimenter des gastronomies variées dans les foodtrucks qui cernent la place.
Et ce n’est pas tout. Car le salon du tatouage n’est pas une exclusivité parisienne. En marge du Mondial, événement majeur s’il en est, les régions accueillent leur lot de manifestations de tailles plus modestes, mais tout aussi réputées. On peut ainsi trouver des salons à Bordeaux, Clermont-Ferrand, Deauville, Marseille, Mulhouse, Nice ou encore Tours.
La bonne nouvelle, c’est qu’il est donc possible de jouer les hôtesses événementielles un peu partout en France, sans avoir besoin de monter expressément à la capitale. Reste à savoir comment faire pour postuler !
Vous ambitionnez d’être recruté pour le salon du tatouage de Paris, ou pour n’importe quelle autre manifestation équivalente en province ? D’abord, il s’agit de bien comprendre ce qu’on attendra de vous à cette occasion. Durant l’événement, les hôtes et les hôtesses sont chargés de l’accueil et de l’orientation des visiteurs, du contrôle des billets à l’entrée, de la réception des artistes tatoueurs, de la distribution des programmes, et parfois de l’animation des stands ou des séminaires.
Ensuite, vous devez avoir conscience des qualités indispensables quand on veut travailler pour un salon du tatouage. Certes, aucune qualification n’est nécessaire. Mais c’est précisément la raison pour laquelle les soft skills sont si importants : le relationnel, le sourire, l’élocution, la présentation, le sang-froid, etc. Il faut ajouter, à cela, la nécessité de parler l’anglais, surtout si vous comptez candidater pour le Mondial du tatouage de Paris – qui, comme son nom l’indique, attire des exposants du monde entier. En outre, une bonne connaissance de l’univers du tatouage vous sera d’une grande aide pour passer l’étape de l’entretien d’embauche, et une fois sur place pour renseigner les visiteurs.
Enfin, comme pour tout événement de ce genre, les organisateurs du salon du tatouage ne s’occupent pas eux-mêmes du recrutement des personnels d’accueil. Cette mission incombe aux agences d’hôtesses, que vous devez donc contacter directement (ou par le biais des offres d’emploi) afin d’accéder au poste désiré. N’hésitez pas à candidater plusieurs mois avant la manifestation, car les processus d’embauche démarrent tôt. Et rédigez votre lettre de motivation avec soin : si vous n’avez pas encore d’expérience dans le domaine de l’accueil, ni de formation spécifique, c’est votre bagout et votre envie qui feront toute la différence !
Terminons avec une question qui vous taraude : pour travailler au salon du tatouage, faut-il absolument être… tatoué ? Non, bien sûr. Personne ne vous le demandera. Mais il n’est pas dit que vous repartirez complètement immaculée !
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]]>L’article Salon du Bourget : un événement perché entre ciel et terre est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>C’est bien simple : si vous cherchez LA manifestation dédiée aux choses de l’aéronautique et de l’aérospatiale, c’est en banlieue parisienne que ça se passe. Plus exactement au nord de la capitale, au Parc des Expositions du Bourget. Premier rendez-vous du genre au monde, devant celui de Farnborough en Angleterre, le salon international de l’aéronautique et de l’espace (SIAE) est l’occasion, pour les constructeurs, de faire la démonstration de leurs aéronefs récents. Pour le plus grand plaisir des spectateurs, qui assistent (entre autres) aux fameuses parades aériennes de haut vol.
Autant dire qu’au salon du Bourget, il s’agit de n’avoir surtout pas les pieds sur terre. Car c’est dans les airs que tout se passe. Innovations matérielles, nouveaux appareils, technologies d’hier, d’aujourd’hui et de demain… Le SAIE est le carrefour des professionnels et des passionnés, auxquels il est pareillement ouvert (bien qu’à des moments différents de la semaine qui lui est consacrée). Après quatre jours réservés au business, le public est invité à en prendre plein les yeux. Outre les voltiges hallucinantes de la Patrouille de France, il est possible d’y découvrir avions de ligne, avions de chasse et navettes spatiales sous tous les angles.
Le salon du Bourget a lieu tous les deux ans, uniquement les années impaires. Il fonctionne en alternance avec les événements idoines qui se tiennent en Angleterre et en Allemagne. C’est la manifestation de ce type la plus importante au monde : elle accueille plus de 300 000 visiteurs à chaque édition (environ 60 % de public et 40 % de professionnels) et plus de 2 000 exposants venus d’une cinquantaine de pays. L’événement est couvert par quelque 3 500 journalistes de la Terre entière.
Le décollage du salon du Bourget remonte au début du XXe siècle, même s’il ne portait pas encore ce nom-là. Un salon de la locomotion aérienne se tient en 1909 dans les travées du Grand Palais, qui accueille déjà près de 100 000 personnes et 400 exposants. Cet événement marque les débuts de l’industrie aéronautique française. On peut y voir, entre autres, le Blériot XI qui a effectué la toute première traversée de la Manche.
À l’issue de la Première Guerre mondiale, les constructeurs y exposent les aéronefs qui ont contribué à la victoire française, ainsi que les premiers avions commerciaux. Mais les restrictions économiques qui suivent le conflit pèsent sur l’industrie aéronautique encore naissante. Il est décidé que la manifestation se tiendra une fois tous les deux ans – une tradition qui a perduré jusqu’à nos jours.
Le dernier salon du Grand Palais, qui a lieu en 1951, s’est déjà en partie délocalisé sur l’aéroport du Bourget, où sont organisées les démonstrations aériennes. C’est donc en toute logique que l’événement devient officiellement le salon du Bourget en 1953, tout en continuant de connaître un grand succès. L’arrivée, à partir des années 60, des engins spatiaux (notamment la cabine Mercury en 1961) contribue à renforcer cette réussite, car il n’y a que là que le public peut rêver devant ces aéronefs. Le nom de « salon de l’aéronautique et de l’espace » lui est donné pour de bon en 1963.
Si vous envisagez de postuler pour un emploi d’hôtesse événementielle à l’occasion du salon du Bourget, il est bon de savoir deux ou trois petites choses.
Sans oublier une chose : pour travailler durant le salon du Bourget, il vous sera indispensable de parler l’anglais. Et pas question de baragouiner quelques mots piochés dans les séries télé : on parle d’une vraie maîtrise de la langue de Shakespeare, indispensable pour prendre soin des visiteurs étrangers qui sont nombreux pendant l’événement (après tout, il s’agit bien d’un salon international).
Vous avez tout ce qu’il faut ? Alors, vous n’avez plus qu’à postuler !
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]]>L’article 5 questions au sujet du salon de l’étudiant est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Le salon de l’étudiant est une manifestation organisée par le magazine L’Étudiant, en partenariat avec les collectivités territoriales et les académies, et avec le soutien des ministères relatifs à l’éducation (Éducation nationale et Enseignement supérieur). L’événement le plus important de France est le salon de l’étudiant de Paris, qui se tient chaque année à la Porte de Versailles. Il existe depuis 1986.
Le but du salon : aider les futurs bacheliers à trouver leur chemin au cœur du territoire hostile des études, mais aussi les étudiants désireux d’explorer d’autres voies. Universités, lycées, IUT, écoles d’ingénieurs, écoles de commerce, établissements spécialisés, CFA… Ce sont toutes les filières qui sont présentées au salon de l’étudiant, dans tous les secteurs, et pour tous les goûts.
C’est pourquoi le salon est généralement placé à des moments stratégiques dans le calendrier, à savoir entre la fin de l’année scolaire et le début de la suivante.
Au salon de l’étudiant de Paris, ce sont plus de 500 établissements scolaires et experts en matière d’éducation qui renseignent les visiteurs au sujet des filières, des cursus et des démarches à effectuer. On y trouve également des informations sur la préparation au Baccalauréat, sur la mise en œuvre des projets d’orientation, sur les parcours post-Bac en BTS et en DUT, etc.
Même ceux qui sont déjà inscrits à l’université ou dans des écoles de l’enseignement supérieur peuvent trouver, au salon de l’étudiant, des renseignements pour poursuivre leur chemin ou pour changer de voie.
Tous les salons sont spécialisés, et tous s’adressent à un public particulier. Le salon de la moto est plutôt fait pour les motards, ou pour ceux qui envisagent de prendre le guidon. Celui de l’agriculture intéresse avant tout les professionnels agricoles et ceux qui veulent (re)découvrir la nature ou la gastronomie des terroirs.
Mais rares sont les conventions qui ciblent une tranche d’âge en particulier. C’est pourtant le cas du salon de l’étudiant, dont le public type est constitué de jeunes gens entre (grosso modo) 15 et 20 ans. Le salon est destiné avant tout aux lycéens qui s’apprêtent à passer le Bac et qui veulent préparer l’après, aux titulaires de ce précieux sésame qui hésitent encore quant à la marche à suivre, et aux étudiants déjà sur la voie, mais souhaitant explorer d’autres options et opportunités.
Le succès du salon de l’étudiant prouve en tout cas une chose : que le chemin n’est pas tout tracé. Et que l’avenir, ça se prépare avec soin.
Si le salon de l’étudiant de Paris est l’événement le plus important dans sa catégorie, il n’est pas le seul pour autant. Comme le salon du tatouage ou celui du chocolat, il a lieu dans plusieurs villes de France et de Navarre. Cela, afin de mieux remplir sa mission : aider les jeunes à préparer leur avenir.
L’extension du concept de salon de l’étudiant démarre dès 1988, soit deux ans après la création de la manifestation parisienne. Près d’une vingtaine de grandes villes (dont Lille, Lyon et Marseille) accueillent leur propre version de l’événement. Aujourd’hui, ce sont plus de 60 éditions différentes qui sont organisées, chaque année, dans l’ensemble du pays : à Avignon, Bordeaux, Dijon, Le Havre, Montpellier, Nancy, Nantes, Nice, Reims, Rennes, Saint-Étienne, Strasbourg, Toulouse, Tours…
Mais toutes ne sont pas identiques. Si la plupart des salons sont généraux, certains se spécialisent dans des secteurs ou des cursus spécifiques : apprentissage, alternance, Masters, formations artistiques et culturelles, multimédia, Baccalauréat, formation continue, etc. Il y en a forcément un qui tombe juste !
Comme tout autre événement de ce type, le salon de l’étudiant a besoin de personnel d’accueil. Et c’est d’autant plus intéressant (si vous souhaitez postuler) que la multiplicité des éditions permet de trouver du boulot un peu partout en France, dans l’une des soixante villes qui organisent leur propre version de l’événement. Il est donc possible, techniquement, de travailler pour le salon de l’étudiant dans toutes les régions, ce qui limite les nécessités de déplacement et les frais afférents.
Pour candidater, vous avez deux solutions. D’une part, consulter les job boards pour dénicher des offres d’emploi relatives au salon qui vous intéresse, par exemple celui de Bordeaux ou de Lyon. D’autre part, contacter directement les agences d’hôtesses qui se feront un plaisir de vous recevoir, ou de vous renvoyer (le cas échéant) au prestataire qui s’occupe de l’événement dans la ville souhaitée.
Vous n’aurez plus qu’à envoyer les habituels CV et lettre de motivation, puis passer un entretien d’embauche. Notez qu’il est intéressant de travailler comme hôte ou hôtesse au salon de l’étudiant quand on est soi-même en plein cursus : c’est l’occasion de valoriser sa candidature et l’assurance de fournir des renseignements pertinents aux visiteurs.
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]]>L’article Salon de l’Agriculture : à la découverte des richesses du monde agricole est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Chaque année, à la même période (fin février – début mars), pas moyen d’y échapper : la France entière a les yeux rivés sur le Parc des Expositions de la Porte de Versailles, où convergent veaux, vaches et cochons. C’est là que se tient le salon de l’Agriculture, l’un des événements les plus populaires de l’Hexagone. Abondamment relayé par les médias, le salon est aussi très apprécié des visiteurs, qui s’y rendent en masse (plus de 600 000 personnes à chaque édition).
Populaire, le salon de l’Agriculture l’est sans aucun doute. Mais il est aussi fort imposant. Car il se tient sur neuf jours et occupe la totalité du Parc des Expositions ! C’est ce qu’il faut pour contenir les quatre univers du salon :
Vaste programme, donc. Et autant d’occasions de partir à la découverte du monde rural, des filières et des professionnels agricoles, au sein d’une grand-messe qui tisse des liens essentiels entre la ville et la campagne. Pour les visiteurs, c’est l’opportunité de se familiariser avec les animaux de la ferme, les cultures maraîchères et les gastronomies du monde entier. Pour simplifier la vie des visiteurs, des parcours thématiques ont été mis en place depuis 2010 afin de mettre en valeur certains aspects du salon de l’Agriculture.
L’origine du salon de l’Agriculture remonte au milieu du XIXe siècle. Le premier concours officiel d’animaux de boucherie est organisé en 1843, et devient le « concours agricole universel » en 1855, alors installé sur le Champ de Mars, à Paris. Puis, c’est le premier concours général agricole qui voit le jour en 1870 sur les Champs Élysées, avec une large place laissée à la sélection des races agricoles et aux produits français. Quand la manifestation pose ses bagages au Parc des Expositions de la Porte de Versailles, en 1925, les animaux de boucherie ont laissé place aux animaux reproducteurs.
Le salon de l’Agriculture tel qu’on le connaît ouvre ses portes en 1964, dans le but de servir de vitrine commerciale au monde agricole, sous l’impulsion du ministre dédié (Edgard Pisani). Cette première édition accueille la bagatelle de 300 000 visiteurs. Un chiffre qui monte à 500 000 dix ans plus tard, et qui atteint de nouveaux records à partir des années 90.
Surtout, le salon de l’Agriculture est progressivement devenu la manifestation agricole la plus importante d’Europe. Il s’agit là du rendez-vous incontournable des professionnels du secteur. Dès 1996, les enseignes de la grande distribution et les entreprises de transformation rejoignent l’événement pour s’impliquer dans une vaste chaîne de traçabilité allant des producteurs aux consommateurs, dans une logique de transparence de la filière. En ce sens, le salon jouit d’une position économique éminemment stratégique.
Il faut également noter que la popularité du salon est née de son statut de vitrine médiatique pour les hommes et les femmes politiques, qui se bousculent chaque année dans ses allées. Le président de la République ouvre traditionnellement le salon de l’Agriculture, avant de laisser place à un ballet de personnalités politiques de tous bords. Le but ? Se montrer plus proche de la population, notamment rurale (mais pas seulement). Et présenter au public un autre visage du politicien, moins guindé et officiel que le portrait habituellement dessiné par les médias.
Le salon de l’Agriculture est aussi l’occasion, pour de nombreux hôtes et hôtesses, de remplir leur agenda du début d’année. Pour intégrer l’événement, il est indispensable de contacter les agences d’hôtesses suffisamment en amont (plusieurs mois avant, même) et/ou de faire le tour des plateformes d’annonces. Si vous avez déjà travaillé durant le salon pour le compte d’une agence, c’est que vous êtes déjà dans les listings de ladite agence et que vous êtes susceptible d’être rappelée pour l’année suivante.
Les postes disponibles durant les neuf jours de la manifestation sont de différents types. En tant qu’hôtesse d’accueil, vous pouvez travailler à l’accueil du public proprement dit ou être affectée au vestiaire plus spécifiquement. À condition d’avoir l’expérience professionnelle indiquée, vous pouvez également postuler comme chef hôtesse pour gérer une équipe tout au long de l’événement.
Mais avant de vous précipiter sur votre ordinateur ou de commencer à rédiger votre lettre de motivation, demandez-vous si vous avez ce qu’il faut pour travailler au salon de l’Agriculture. Il s’agit, en effet, d’un événement majeur, de grande ampleur. Le salon draine 600 000 visiteurs et plusieurs milliers d’exposants. La présence quotidienne de personnalités politiques en fait un lieu très dense en termes de foule. Les hôtes et les hôtesses doivent donc être en pleine forme physique et faire preuve d’un grand sang-froid.
En outre, la maîtrise de l’anglais est un prérequis indispensable, étant donné le rayonnement international du salon de l’Agriculture. Si vous vous sentez prêt(e), vous n’avez plus qu’à postuler !
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]]>L’article Salon du Mariage : des événements incontournables partout en France est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>L’objectif premier d’un salon du Mariage, c’est de matérialiser le long (et parfois frustrant) processus d’organisation des noces. Celui-ci peut courir sur un an ou deux, et ressembler à s’y méprendre à un parcours du combattant. Quelles robes essayer ? Quel traiteur choisir ? Quel décorateur pour donner vie à la vision des futurs mariés ? Quel photographe pour capter ces instants de bonheur ? Et comment s’assurer que tout ce petit monde sera parfaitement au point le jour J ?
Le salon du Mariage donne à voir, à essayer, à goûter, à sentir. C’est la plus concrète et la plus pratique de toutes les manifestations événementielles : alors qu’il est rare de repartir du salon de l’Auto avec un concept car sous le bras, les visiteurs du salon du Mariage rentrent à la maison avec un tas de cartes de visite, de numéros de téléphone, de contacts et de devis dans les poches. Et la tête pleine d’idées nouvelles.
En somme, les salons dédiés au mariage, partout en France, sont l’occasion de rencontrer « les professionnels de la profession » et d’en tirer des idées sur ce qu’il est possible de faire (ou non) le jour des épousailles. Cela va du choix des canapés pour le vin d’honneur aux détails de l’organisation du voyage de noces, en passant par la sélection du meilleur MC pour prendre en charge la cérémonie. C’est aussi l’opportunité de découvrir les dernières tendances dans tous les domaines, pour avoir un mariage à la page. Et si vous ne savez pas par où commencer, des wedding planners vous attendent également sur place.
L’avantage du salon du Mariage, c’est qu’il est (quasiment) partout. Pas la peine de prendre des congés pour « monter à Paris » participer à l’événement qui se tient chaque année à la Porte de Versailles, organisé par le site du mariage et Marions-nous Magazine, ou à celui qui s’installe au carrousel du Louvre. Vous pouvez aussi bien rester dans votre région ou rejoindre la plus proche grande ville, car toutes les agglomérations d’importance ont leur propre salon du Mariage. Ainsi que de nombreuses communes moyennes, qui organisent des manifestations de taille plus modeste, mais fort pratiques pour les habitants du coin.
Vous trouverez ainsi un salon du Mariage à Agen, Angers, Belfort, Bordeaux, Calais, Cannes, Châteauroux, Colmar, Coulommiers, Grenoble, Hyères, Lyon, Marseille, Monaco, Montpellier, Nice, Nîmes, Pau, Strasbourg, Tarbes, Toulouse, Valence… La double bonne nouvelle, c’est que tous ces événements sont disséminés dans l’année, globalement de janvier à mars puis de septembre à novembre. Et que la plupart du temps, chaque salon du Mariage propose l’entrée gratuite aux visiteurs.
Bien sûr, l’ampleur de l’événement détermine la quantité et la qualité des prestataires. Le salon du Mariage de la Porte de Versailles de Paris, par exemple, accueille plus de 400 exposants. C’est the place to be pour les Franciliens, mais aussi pour toute personne qui cherche de bonnes idées en vue de ses noces. Les salons étant placés stratégiquement dans le calendrier (plus ou moins en amont de la saison des épousailles), c’est également une chance de faire de bonnes affaires quelques mois avant le jour J.
La multiplicité des manifestations dédiées au mariage offre de nombreuses chances de travailler comme hôte ou hôtesse, notamment pour ceux et celles qui vivent en région et ne peuvent pas se déplacer en Île-de-France aisément. Il est ainsi possible de postuler pour participer à un salon du Mariage national (à Paris) ou régional (dans l’une des villes grandes ou moyennes qui en organisent).
Dans tous les cas de figure, vous devez procéder de la même manière : consulter les job boards pour dénicher des annonces dédiées, sachant que les opportunités commencent à fleurir quelques mois avant le coup d’envoi de chaque manifestation. Ou contacter directement les agences qui s’occupent du recrutement des hôtes et des hôtesses, et préciser pour quel salon du Mariage vous désirez travailler en fonction de votre emplacement géographique et de vos possibilités de déplacement.
Pour postuler, vous n’avez pas forcément besoin d’une formation ou d’expérience professionnelle comme hôte/hôtesse. Mais il est indispensable d’avoir une bonne idée des missions qui vous attendent à l’occasion du salon du Mariage, à savoir : la prise en charge des visiteurs et des exposants, parfois même en amont et en aval de l’événement ; la gestion du vestiaire ; la distribution de tracts ou de flyers ; et parfois l’animation des événements qui ont lieu pendant le salon. La nature exacte des missions dépend de l’importance du salon.
Notez qu’il est rarement nécessaire de parler l’anglais pour participer à un salon du Mariage, ce type d’événement étant plutôt centré sur des exposants et des visiteurs du cru. Toutefois, la maîtrise de la langue de Shakespeare peut être un prérequis pour les salons parisiens, plus susceptibles d’accueillir des prestataires venus de l’étranger.
Enfin, il est également recommandé d’avoir un tropisme certain pour les robes blanches, les bouquets de fleurs qu’on lance dans les airs et les danses romantiques – bref, d’avoir le goût du mariage et des fêtes !
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]]>Bien qu’ayant lieu dans plusieurs villes à travers la France et l’Europe, c’est bien à Paris que le salon du chocolat a ses quartiers principaux. Plus exactement dans le Parc des Expositions de la Porte de Versailles. Et généralement au commencement de l’automne, fin septembre/début octobre, quand les premiers froids se font sentir et qu’il est plus que temps de savourer quelques tasses de chocolat chaud fait maison !
Dans la capitale, cette parenthèse gourmande accueille plus de 120 000 visiteurs, venus à la rencontre de quelque 500 exposants – dont plusieurs stars de la chocolaterie et de la pâtisserie. Que veulent-ils, ces visiteurs ? Croquer dans les nouveautés, pardi ! À l’occasion du salon du chocolat, ils peuvent ainsi déguster des produits proposés par de grands noms du secteur qu’on ne trouve pas habituellement en boutique.
Bien sûr, les dégustations à elles seules ne font pas tout le sel du salon du chocolat. Chaque année, plusieurs animations sont organisées que l’on retrouve d’une édition sur l’autre. Notamment :
Au salon du chocolat, il y en a donc pour tous les goûts, et bien plus encore.
On peut légitimement se poser la question. Et pourtant, n’est-ce pas une évidence ? Chaque année, ce sont près de 3 millions de tonnes de cacao qui sont consommées dans le monde, pour un chiffre d’affaires qui tutoie les 4 milliards d’euros. Il n’y avait donc aucune raison que la France ait son salon de l’agriculture, mais qu’elle n’ait pas son salon du chocolat !
En 1994, donc, un couple d’entrepreneurs (Sylvie Douce et François Jeantet) se lance dans l’aventure. Et crée le tout premier salon du chocolat à Paris, Espace Eiffel-Branly, avec 30 exposants… et déjà 40 000 curieux ! Le succès s’impose rapidement, et avec lui le besoin d’internationaliser l’événement. Aujourd’hui, le salon du chocolat est donc partout : à New York, Moscou, Shanghai, Tokyo… Partout où l’on aime le chocolat. À Paris, après un passage par le carrousel du Louvre, le salon a définitivement posé ses bagages à la Porte de Versailles.
Vous aussi, vous voulez découvrir « le chocolat dans tous ses états », mais cette fois de l’autre côté de la barrière ? En somme, vous envisagez de postuler comme hôtesse événementielle à l’occasion de cette manifestation ?
Pour cela, mieux vaut contacter au plus tôt les agences d’hôtesses qui s’occupent de l’événement. En effet : plus tôt vous serez sur les rangs, plus vous aurez de chances de vous faire recruter avant que les places soient toutes prises. Dès la fin de l’été, commencez à consulter les offres d’emploi dédiées au salon du chocolat et à envoyer CV et lettre de motivation. Si tout se passe bien, vous serez contactée pour un entretien d’embauche, durant lequel vous devrez faire vos preuves.
Besoin de conseils pour franchir cette étape avec succès ?
Avec ces conseils en tête, vous n’avez plus qu’à vous lancer !
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]]>S’il y a un endroit où il faut se rendre bien habillé, c’est celui-ci. Pendant une semaine – d’où le nom de Fashion Week – Paris se transforme en podium et adopte la taille mannequin. La haute couture y côtoie le prêt-à-porter, les journalistes s’y frottent aux créateurs, les stars de la planète mode s’entretiennent avec les acheteurs… Et les passants observent avec délices cette débauche de paillettes et de cheveux colorés qui envahissent pour quelques jours la capitale française.
L’événement se divise en deux temps. Au printemps (autour du mois de mars) puis à l’automne (autour de septembre). Par deux fois chaque année, les marques de prêt-à-porter et les grandes maisons de couture font la démonstration de leurs collections, à coups de défilés plus sensationnels les uns que les autres. Bien sûr, l’optique est différente à chaque fois. Les marques de prêt-à-porter veulent se faire connaître du grand public et privilégient une diffusion large de leur production. Tandis que les maîtres de la mode présentent des habits réservés à une clientèle triée sur le volet.
La Fashion Week, c’est bien plus qu’une manifestation événementielle comme on en voit tant. C’est « the place to be » pour quiconque a le goût des aiguilles et des dés à coudre, comme le salon de l’Auto est l’endroit à ne pas rater pour les amateurs de belles carrosseries et de gros moteurs (bien qu’il ait aussi de cela à la Fashion Week !). Bien sûr, Paris n’est pas seul en lice. Il fait partie des « Big Four », quatre événements calendaires qui se succèdent aux quatre coins de l’Occident – New York, Londres, Milan puis la Ville Lumière. Mais c’est surtout la plus importante de ces quatre grand-messes.
Pour découvrir l’origine de la Fashion Week de Paris, il faut remonter au début du XXe siècle. Les grandes marques de haute couture prennent l’habitude de présenter leurs collections (printemps/été et automne/hiver) deux fois par an. D’abord discret, l’événement commence à prendre de l’ampleur après la Seconde Guerre mondiale, par le truchement des médias qui en parlent de plus en plus.
C’est en 1973 que naît officiellement la « Semaine de la mode » à Paris. La popularité de cet événement fait que toutes les grandes marques internationales veulent être présentes, et qu’elles choisissent leur ville en fonction de la notoriété – ce qui les amène souvent à préférer la Fashion Week parisienne. C’est d’ailleurs dans la capitale française, et nulle part ailleurs, que se tient la Semaine de la Haute Couture.
C’est à partir de la fin des années 80 que la manifestation gagne ses galons de rendez-vous incontournable. Bien que réservée aux professionnels et aux journalistes accrédités (auprès de la Fédération française de la Couture à Paris), la Fashion Week est ainsi largement suivie par le public.
Incontournable, la Fashion Week de Paris ? Oui, pour les professionnels de la mode, car ces deux semaines génèrent plus de 10 milliards d’euros de transactions commerciales. D’où l’aspect très « business » de l’événement.
Mais aussi pour les professionnels de l’événementiel, puisque ce sont à chaque fois plusieurs centaines d’hôtes et d’hôtesses qui sont appelés à la rescousse pour assurer le bon déroulement de la grand-messe de la mode. Raison pour laquelle les agences d’hôtesses sont sur le coup largement avant le signal de départ.
Un grand nombre de candidates tentent chaque année leur chance pour participer à la Fashion Week de Paris, ne serait-ce que dans les coulisses. Mais les places sont chères et les appelées peu nombreuses. Si vous voulez travailler pour cet événement, voici quelques conseils à appliquer sans modération :
Au passage, profitez-en pour apprendre un maximum de choses au sujet de la Fashion Week de Paris. Ainsi, vous ne serez pas dépourvue si les recruteurs vous posent des questions précises, et pourrez spontanément illustrer votre présentation avec des références pointues à l’histoire de l’événement. Cela devrait donner des ailes à votre candidature !
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]]>Combien d’autres événements du même tonneau peuvent-ils afficher fièrement plus d’une centaine d’années d’existence ? À part le salon de l’Auto, nulle manifestation n’arrive à la cheville de la Foire de Paris en termes de longévité et de bonne santé. Car, avec 500 000 visiteurs en moyenne à chaque édition, c’est aussi l’un des salons les plus fréquentés de France. Et ce, malgré la concurrence acharnée du web et des terminaux mobiles, supports de communication plébiscités dans le domaine de l’innovation et des nouveautés technologiques.
La Foire de Paris a-t-elle un secret ? Elle en a même deux ! Le premier, c’est son influence sur la scène de l’innovation. Épicentre de l’inventivité, cœur battant de la curiosité, la Foire a gagné ses galons de maîtresse ès découverte durant ses cent années d’existence. Une distinction qui culmine avec l’indépassable concours Lépine, qui célèbre chaque année une invention aussi originale que concrète (et donc utile pour les consommateurs).
Le second secret de la Foire de Paris, c’est son ancrage dans le réel. La manifestation s’est fait une spécialité de présenter les nouveautés dans les domaines de la maison et de l’habitat – tous deux très appréciés des Français. Un tiers environ des visiteurs arrive sur place avec l’idée de répondre à une envie maison, qu’il s’agisse d’acheter un équipement spécifique, de comparer les entrepreneurs (en vue de demander des devis) ou de réfléchir à la mise en place d’installations créatives (dans le domaine de la smart home, par exemple). Car, oui, à la Foire, les visiteurs peuvent acheter tout ce qui répond à leurs attentes et besoins !
L’existence de la Foire de Paris remonte au début du XXe siècle : sa première édition voit le jour en 1904. Les organisateurs s’inspirent des foires qui éclosent partout en Europe (à l’image de celle de Leipzig) avec l’idée de prolonger le succès remporté par l’Exposition universelle parisienne, quelques années plus tôt, en 1900. Le concept de foire, lui, n’est pas nouveau à Paris : depuis bien longtemps, chaque quartier de la capitale organise une sorte de mini-foire destinée à la présentation des produits des différents corps de métier. La Foire n’est qu’une version « augmentée » de ce principe.
Au départ une simple foire aux échantillons installée au Carreau du Temple, l’événement prend de l’ampleur pas à pas. Jusqu’à s’installer à cheval sur le Champ-de-Mars et les Invalides en 1921. La même année, le Comité des Expositions de la ville de Paris, constatant que la fréquentation ne cesse d’augmenter, décide d’offrir un lieu fixe à la manifestation. C’est la naissance du Parc des Expositions de la Porte de Versailles, qui reste le plus grand de sa catégorie en France (et le premier d’Europe en termes d’activité). La Foire de Paris y pose ses bagages en 1924, pour ne plus le quitter. Avec le succès que l’on sait… Dont une année (1972) à un million de visiteurs !
Vous l’aurez compris à la lecture de ce qui précède : la Foire de Paris est un événement majeur qui suppose une logistique importante. Gérer 500 à 600 000 visiteurs, ça ne se fait pas en claquant des doigts. Sans même parler des 3 500 marques et des 2 000 exposants qui s’étendent sur près de 200 000 m2.
Les agences d’hôtesses sont donc sur le pont très en amont de l’événement, pour le préparer en toute quiétude et assurer aux organisateurs la présence d’un personnel suffisant et compétent. Conséquence : les offres d’emploi d’hôtes et d’hôtesses événementiel(le)s sont très nombreuses, ce qui vous fait autant d’occasions de postuler. À la clé : une dizaine de jours de travail potentiel, une rémunération attractive, un salon qui se démarque par son dynamisme et son originalité, des visiteurs venus de tous les horizons… Et une solide expérience à faire valoir par la suite, la Foire de Paris restant l’une des manifestations les plus prestigieuses de la capitale.
Pour candidater à la Foire de Paris, n’hésitez pas à envoyer un CV et une lettre de motivation suffisamment en amont de l’événement : autour de janvier ou février. Dans cette optique, sachez qu’il faudra mettre en avant :
À vous de jouer : la Foire de Paris vous attend !
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]]>L’article Maison et Objet : l’incontournable rendez-vous parisien dédié au lifestyle est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>La vaste plateforme du lifestyle qu’est Maison et Objet centralise quantité de domaines : décoration, design, meubles, accessoires, textile, fragrances, arts de la table, univers de l’enfance… Ce carrefour multiculturel de l’art de vivre contemporain se divise en trois grands pôles :
À travers ces trois pôles, Maison et Objet ambitionne d’englober les tendances qui se dégagent. Et d’offrir des expériences d’achat audacieuses, inspirantes et surprenantes. Dans ce but, l’organisation du salon a lancé Maison & Objet and More, une plateforme digitale permettant aux exposants de présenter leurs collections et d’échanger en continu, partout dans le monde.
Plus qu’un simple showroom, Maison et Objet veut être la marmite dans laquelle se préparent les plats créatifs de demain. Tous les ingrédients sont réunis pour décoder les tendances et les signes émergents, aussi bien en ce qui concerne l’évolution des goûts des consommateurs que les tentatives des fabricants pour se démarquer. Chaque année, les créateurs en place et les talents émergents sont mis en valeur au sein du salon. Cela, pour honorer les valeurs confirmées tout en montrant du doigt les grands noms à venir – célébration de l’art de vivre d’aujourd’hui et de demain.
Autant dire que le salon Maison et Objet est devenu, progressivement, un levier essentiel de croissance pour les marques du design, de la décoration, de l’aménagement intérieur et du lifestyle. Être dans la place, c’est bénéficier d’un coup de projecteur crucial. Et d’une occasion de bâtir son influence sur la planète art de vivre. C’est d’autant plus vrai que le salon se décline désormais à l’international : en plus des deux éditions parisiennes (en janvier et en septembre), Maison et Objet s’est installé à Singapour (depuis 2014) et à Miami Beach, aux USA (depuis 2015).
Vous êtes tenté de postuler pour Maison et Objet ? Attention : avant toute chose, vous devez garder à l’esprit qu’il s’agit d’un salon thématique réservé aux professionnels. Ce qui veut dire que les hôtes et hôtesses de salon ont pour mission d’accueillir et d’orienter un public d’initiés, particulièrement exigeant.
Une bonne connaissance des sujets explorés par Maison et Objet est un préalable indispensable, mais ça ne suffit pas. En tant que référence dans le domaine du design et de l’art de vivre, le salon s’attache à déployer une scénographie très travaillée et spécifiquement conçue pour servir d’écrin aux nouveautés présentées. En somme, avant de candidater, commencez par étudier l’événement et ses particularités pour arriver bien préparé devant les recruteurs.
Si vous envisagez de postuler au salon Maison et Objet, deux possibilités s’offrent à vous :
Les annonces vous renverront de toute façon aux agences, qui assurent le recrutement en interne des hôtes et hôtesses. Dans tous les cas de figure, vous devrez préparer un CV et rédiger une lettre de motivation – sauf si vous êtes déjà inscrit(e) dans les fichiers d’une agence, bien entendu. Vous passerez ensuite un entretien d’embauche en vue du salon.
Dans cette optique, n’hésitez pas à mettre en avant vos qualités personnelles, vos compétences et votre connaissance dans le domaine de la décoration d’intérieur et du design. Si vous avez déjà une expérience dans ce secteur ou que vous suivez des études dans une thématique proche, cela pourrait vous être utile.
Enfin, n’oubliez pas qu’il s’agit d’un événement international : la langue anglaise est donc de rigueur !
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]]>L’article Le salon du Livre : une success story digne d’un roman est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Le salon du Livre est le rendez-vous de ceux qui aiment les livres et la littérature au sens large. La manifestation déploie ses charmes à travers une programmation d’une richesse étonnante, aussi diversifiée qu’exigeante, afin de mettre un coup de projecteur sur les auteur(e)s du moment et ceux qui sont destinés, demain, à devenir les chouchous du public et des critiques.
Ses particularités ? Alors que la plupart des salons événementiels séparent les visiteurs des professionnels, le salon du Livre se plaît à les mélanger. Preuve de sa belle ouverture d’esprit. En outre, les visiteurs peuvent acheter les livres exposés, ce qui est également une spécificité.
C’est que le salon du Livre se définit comme un festival littéraire. Les visiteurs n’y trouvent pas que des exposants et des rayonnages débordant d’ouvrages en tous genres. Ils peuvent aussi participer à des rencontres, faire signer leurs livres favoris, tailler le bout de gras avec les auteur(e)s et même assister à des événements et animations originaux autour de la question littéraire. On ose à peine imaginer le plaisir qu’auraient Emma Bovary ou Don Quichotte à circuler dans les allées du Parc des Expos !
Si l’on considère la longue histoire qui accompagne certaines manifestations parisiennes (comme le salon de l’Auto plus que centenaire), celle du salon du Livre est relativement brève. L’événement naît en 1981, sous la houlette du Syndicat national de l’édition. Il est inauguré par le ministre de la Culture d’alors, Jack Lang. D’abord installé au Grand Palais, il déménage Porte de Versailles en 1989, avant de revenir dans ses locaux d’origine l’année suivante… Pour poser définitivement ses valises en marge du périphérique en 1994.
Rapidement, le salon du Livre s’impose comme un événement littéraire majeur en Europe et dans le monde, avec de rares concurrents (dont la foire du livre de Francfort). Son prestige est assuré par la venue de grands noms, comme Simone Signoret en 1985, Salman Rushdie en 1995 (malgré les menaces qui pèsent sur lui), James Ellroy en 1996, José Saramago en 2000, Paul Auster en 2010 ou William Boyd en 2014.
Dès 1988, la manifestation lance un principe destiné à devenir une tradition : la mise à l’honneur d’un grand pays littéraire ou d’un ensemble de nations partageant une même culture de l’écrit. Une initiative qui contribue à propulser le salon du Livre sur la scène internationale et à augmenter l’intérêt des médias des quatre coins du monde. Ainsi, les visiteurs ont l’occasion de découvrir les littératures américaine (1996), nordique (2011), japonaise (2012), roumaine (2013), argentine (2014) ou encore russe (2018), avec une mise en lumière des auteurs contemporains autant que des classiques. En parallèle, des villes sont honorées, également chaque année.
Le salon du Livre est un moment-clé autant pour le public que pour les professionnels. Avec une fréquentation moyenne de 150 000 personnes, l’événement est une vitrine essentielle pour les éditeurs et autres acteurs du monde du livre, qui y voient l’occasion de présenter leurs nouveautés et de mettre en avant les romanciers maison. 33 000 professionnels se réunissent ainsi chaque année Porte de Versailles, notamment pour participer à des événements dédiés.
Il est donc naturel, en retour, que les agences d’hôtesses préparent le salon du Livre avec grand soin. Pour postuler en tant qu’hôte ou hôtesse de salon, il est donc recommandé de vous y prendre suffisamment tôt, plusieurs mois avant mars, sans attendre que tous les postes soient déjà pourvus. Pour ce faire, vous pouvez contacter directement les agences ou traquer les offres d’emploi sur les sites spécialisés. À vous, ensuite de répondre aux annonces qui correspondent à vos attentes et à votre niveau de compétence. Rien ne vous empêche, par exemple, de candidater pour un poste de chef hôtesse si vous avez déjà l’expérience nécessaire.
Les qualités attendues, vous les connaissez au moins dans les grandes lignes : présentation impeccable, bonne élocution, politesse en toutes circonstances, sourire lumineux, goût du relationnel, aisance naturelle au milieu des foules, etc. Le salon du Livre emploie surtout des hôtesses d’accueil afin d’accueillir et de guider les visiteurs, mais vous aurez peut-être l’occasion d’assurer la tenue des animations et des rencontres, ou serez invité(e) à prendre en charge le vestiaire. Cela, en fonction des postes disponibles, des besoins et de vos compétences.
Toutefois, autant vous dire que la maîtrise de la langue anglaise est tout à fait incontournable. Bien que la langue de Molière soit à l’honneur au salon du Livre, celle de Shakespeare vous sera indispensable pour échanger avec les visiteurs étrangers et les professionnels internationaux. En outre, n’hésitez pas à consulter en amont le programme du prochain salon, et en particulier le nom du pays mis à l’honneur : si vous en parlez couramment la langue, ce sera un gros atout au moment de postuler auprès des agences. Vous n’aurez plus qu’à bien l’indiquer dans votre CV et votre lettre de motivation !
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]]>L’article La FIAC, agitatrice de curiosités artistiques est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Pendant une période de trois jours, en octobre, le monde de l’art contemporain a les yeux tournés en direction du Grand Palais, au cœur de Paris. La raison ? La tenue annuelle de la FIAC, la Foire internationale d’art contemporain, l’un des événements les plus importants du secteur. On pourrait aisément la comparer, en termes d’importance, à ce qu’est la Fashion Week pour la mode, le salon de l’Auto pour les véhicules motorisés ou le salon du Bourget pour les avions.
À travers une sélection d’œuvres issues de l’art moderne, de l’art contemporain et du design, la FIAC ambitionne tout à la fois de prendre la température du marché et de tracer les contours des grandes tendances à venir. Plus d’une vingtaine de pays participe à l’événement en envoyant des exposants. Et plus d’une douzaine de galeries internationales majeures viennent y présenter les œuvres qui feront, demain, parler sur la planète Art Moderne.
La toute première édition de la FIAC voit le jour en 1974 et prend place au sein de l’ancienne gare parisienne de la Bastille, sous le nom de Salon international d’art contemporain. Elle ne prend son nom de « Foire » qu’au moment de sa migration au Grand Palais en 1976, qu’elle ne quittera qu’au début des années 2000 pour la Porte de Versailles – et seulement à cause des travaux qui l’empêcheront de se tenir dans son enceinte de cœur – avant d’y revenir quelques années plus tard.
Début 2000, un événement rappelle que même la modernité par excellence peut être dépassée. Alors que la FIAC tient le haut du pavé de la scène artistique contemporaine internationale depuis sa création, elle se voit concurrencée par sa petite sœur londonienne, Frieze. Par l’audace de leurs choix, par la fraîcheur de leurs prises de position, par la vivacité de leurs idées, les organisateurs britanniques contribuent à provoquer une remise en question de la FIAC.
C’est alors que l’arrivée à la direction de la FIAC de Jennifer Flay et de Martin Bethenod permet à la manifestation de retrouver sa place de leader de l’art contemporain. Sous l’impulsion de Flay, la Foire convoque un plus grand nombre de galeries étrangères, autrefois en minorité, tout en continuant d’opérer une sélection minutieuse. En parallèle, elle crée une section dédiée aux jeunes galeristes (de moins de trois ans d’existence), faisant souffler sur l’événement un vent de nouveauté bienvenu.
Le programme Hors les Murs vient parachever la volonté de la FIAC de se démocratiser. Par ce biais, des œuvres contemporaines parfois monumentales sont présentées au public en dehors du Grand Palais : au Jardin des Tuileries, au Jardin des Plantes et place Vendôme. Dans le même temps, des « nocturnes » sont organisées au Grand Palais, sur le modèle de ce qui se fait dans les musées institutionnels. Autant de moyens d’attirer des visiteurs plus jeunes et d’assurer la diversité des spectateurs par le biais d’une démocratisation de la manifestation, qui n’est plus considérée comme un événement purement élitiste.
Vous aimeriez jouer les hôtes ou les hôtesses durant la FIAC ? Avant toute chose, il faut savoir que cet événement est marqué par une fréquentation importante : plus de 70 000 visiteurs en moyenne. Bien sûr, nous sommes loin des statistiques à six chiffres que certains salons populaires enregistrent. Mais à condition de garder à l’esprit que cette manifestation s’adresse à une portion forcément limitée du public, on peut affirmer qu’il s’agit d’un succès annuel.
Il n’est donc pas étonnant que les agences d’hôtesses préparent cet événement avec un grand soin, bien avant le mois d’octobre. Le mieux est encore de prendre contact directement avec les différentes agences, en privilégiant si possible celles qui se spécialisent dans le domaine des arts et des musées. Vous pouvez le faire à n’importe quel moment de façon spontanée, ou sinon patienter jusqu’à ce que des offres d’emploi commencent à surgir sur les job boards à l’approche de la Foire.
Pour le reste, est-il besoin de rappeler les qualités et les compétences requises ? Elles sont communes à tous les métiers de l’hôtessariat : présentation impeccable, bonne élocution, sens de l’écoute, sang-froid, politesse, goût du relationnel… Des soft skills auxquels il est bon, toutefois, d’ajouter quelques exigences :
En effet, nous nous trouvons là face à un événement très particulier, réservé à un public averti qui sait précisément ce qu’il vient chercher. Si vos missions en tant qu’hôte ou hôtesse ne seront pas bien différentes de ce qui se fait sur d’autres salons ou foires (comme la Foire de Paris, par exemple), vous serez tout de même confronté(e) à des professionnels du secteur et à des amateurs d’art en grand nombre – parmi la foule des curieux. Avec quelques connaissances, vous serez donc plus à l’aise pour répondre à leurs questions et les orienter convenablement !
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]]>L’article Pleins phares sur le salon de la Moto ! est apparu en premier sur Hotesse.fr.
]]>Qui a dit que seules les voitures avaient droit de cité ? Grâce au salon de la Moto, les amateurs de deux-roues (et de trois-roues, voire de quatre-roues puisque les quads font aussi partie du show) peuvent fouler les allées d’un grand événement international consacré à leur passion – qui consiste à avoir les mains sur le guidon et les cheveux dans le vent.
Depuis 1993 et la création d’une grand-messe dédiée aux motos et aux cycles, le salon de la Moto accueille à chaque édition entre 300 000 et 400 000 visiteurs (avec un record de fréquentation en 2003 : 415 000 personnes), ainsi que plusieurs centaines d’exposants qui se divisent entre constructeurs et équipementiers. 2 600 journalistes venus d’une cinquantaine de pays s’y pressent, une main sur l’appareil photo et l’autre sur le dictaphone.
La grande force du salon de la Moto réside dans la diversité des marques présentes et des événements organisés. Au-delà des nouveautés exposées par les constructeurs, des prototypes et des véhicules concepts, les visiteurs peuvent y découvrir des innovations technologiques liées au monde du deux-roues, faire des essais sur piste, assister à des démonstrations et des performances, etc.
Pendant de longues décennies, le salon de la Moto a été partie intégrante du salon de l’Auto. Dès 1914, l’Exposition internationale de l’Automobile, alors installée au Grand Palais, accueille les deux-roues et ajoute à son intitulé la mention « du Cycle et des Sports ». C’est le point de départ d’une histoire qui va durer jusqu’à 1950 et la division du Mondial de l’Auto en deux entités distinctes : l’exposition des voitures au Grand Palais et celles des deux-roues à la Porte de Versailles.
En 1993, deux salons dédiés aux véhicules deux-roues sont réunis sous une même bannière : le salon du Cycle et celui de la Moto deviennent le Mondial du deux-roues. Malheureusement, les choses ne se passent pas comme prévu. Le succès rencontré auprès du public ne permet pas au salon de se maintenir à flots, notamment à cause de la rude concurrence des autres manifestations européennes (surtout l’Intermot en Allemagne et l’EICMA en Italie). Le principal problème vient du calendrier : étant placé en toute fin d’année, le salon de la Moto arrive après ses rivaux majeurs… Quand toutes les nouveautés des grandes marques ont déjà été présentées au public et relayées dans les médias.
Après son annulation en 2017, la manifestation est revenue d’entre les morts en 2018, en retournant dans le giron du salon de l’Auto. Le salon de la Moto se tient désormais en parallèle du Mondial de l’automobile, les deux événements n’en faisant plus qu’un : le Mondial Paris Motor Show, qui regroupe autos, motos, technologies et enjeux de mobilité. Le tout se tient à la Porte de Versailles, à ceci près que la partie deux-roues occupe un hall à part, sur une surface de 35 000 m2.
Comme toute manifestation importante en France, à l’image de la Fashion Week ou de la FIAC, le salon de la Moto est un événement très attendu par tous les acteurs du monde de l’hôtessariat. Et pour cause : pendant les quelques jours que dure la manifestation, ce sont plusieurs centaines d’hôtes et d’hôtesses qui sont appelées à accueillir, orienter et guider le public et les journalistes.
Si vous envisagez de participer au Mondial de la Moto en tant qu’hôte ou hôtesse, sachez en conséquence que les agences spécialisées recrutent de nombreux candidats. Et généralement très tôt dans l’année, car ce type d’événement se prépare largement en amont, pour d’évidentes questions d’organisation. À tout moment, vous pouvez contacter les agences pour candidater. Ou attendre patiemment de trouver les premières offres d’emploi sur les job boards dédiés aux métiers de l’hôtessariat.
Toutefois, mieux vaut savoir à quoi vous attendre. Vous pouvez par exemple travailler comme hôtesse mannequin ou comme hôtesse vestiaire, ou simplement accueillir les visiteurs à l’entrée du hall consacré au salon de la Moto. Il est conseillé d’avoir au minimum quelques affinités avec le monde de la mécanique et des véhicules motorisés en général, avec celui des deux-roues en particulier – mais ce n’est pas une obligation.
En outre, la maîtrise de la langue anglaise est incontournable, eu égard au potentiel international de cet événement. Si vous êtes à l’aise dans d’autres idiomes, n’hésitez pas à en faire mention dans votre lettre de motivation : ce sera un argument solide sur lequel compter pour convaincre les recruteurs !
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